Torture mentale imposée par l’EFdM : Demande d’aide à la communication. Y-a-t’il quelqu’un quelque part qui peut me conseiller ? Ou au moins répondre ?

Je demande ici – au hasard, comme toujours, puisque je n’ai ni aide ni interlocuteurs – si quelqu’un peut me dire comment faire pour obtenir l’assistance à la communication à laquelle j’ai droit en tant qu’autiste (reconnu par la CDAPH), en vertu de l’article L.246-1 du CASF (« Loi Chossy »).

(extraits) « Toute personne atteinte du handicap résultant du syndrome autistique et des troubles qui lui sont apparentés bénéficie, quel que soit son âge, d’une prise en charge pluridisciplinaire qui tient compte de ses besoins et difficultés spécifiques.
Adaptée à l’état et à l’âge de la personne, cette prise en charge peut être d’ordre éducatif, pédagogique, thérapeutique et social. »

  • J’ai absolument besoin d’une telle assistance, dans l’espoir de diminuer la torture mentale qui m’est imposée par l’Etat français (voir dossier ONMORFL), constituée notamment par  :
    • 1/ Le maintien des injustices criantes relatives au droit au séjour en France de mon ami-soutien-de-vie étranger, qui durent maintenant depuis plus de SEIZE ANS, et qui ont été confirmées par les services du « Défenseur des Droits » ;
    • 2/ Le maintien de la non-justification (et le refus total d’aborder le sujet, ou de parler de réparations) concernant la séquestration par l’Etat qui m’a été imposée pendant quinze mois par des médesinges ignorant tout du syndrome d’Asperger (donc constitutive d’une erreur médicale manifeste, comme tant d’autres au détriment des autistes dans ce pays) ;
    • 3a/ Le mutisme administratif en réponse à mes très nombreux efforts de communication (courriels, lettres etc.) ;
    • 3b/ La stupidité administrative Les difficultés non-autistiques empêchant les fonctionnaires de comprendre ce que j’explique (en long en large et en travers) dans mes lettres, incompréhensions qu’on peut constater très clairement dans les rarissimes réponses que j’arrive parfois à obtenir (au prix d’efforts surhumains, comme par exemple une grève de la faim) ;
      Note : Je suis autiste, donc j’ai des problèmes de communication, donc les gens ne comprennent pas ce que je dis. Non pas parce qu’ils sont idiots ou limités, non non, mais juste parce que je suis autiste (donc apparemment mes explications sont trop compliquées pour eux pas adaptées à la débilité ordinaire). 
      Autrement dit, ce qui compte dans le système de pensée non-autistique, ce n’est pas la vérité, ni qui a raison véritablement, mais ce que pense la majorité, qui ne peut pas imaginer qu’un individuel isolé, et « bizarre », puisse avoir raison. Et non seulement le « raisonnement social global » ne peut pas imaginer ça, mais en plus, même s’il le pouvait intellectuellement, il n’en aurait pas le courage, puisque cela bouleverserait beaucoup trop le système illusoire auquel se raccrochent « les gens normaux ».
    • 3c/ La mauvaise volonté et l’hypocrisie de l’Administration, dont les fonctionnaires souverains et discrétionnaires ne se gênent pas pour me « balader » interminablement, sans faire le moindre effort d’adaptation au fait que je suis autiste (donc ni accessibilité universelle, ni aménagements raisonnables ; quant à la simple humanité et le simple bon sens, on n’en parle même pas : ce n’est pas le genre de la maison France).

— DDD : J’ai besoin d’une assistance à la communication (comme une sorte d’interprétariat) tout particulièrement maintenant : en effet, les services du « Défenseur des Droits » (DDD) sont les seuls qui, fin 2015, ont montré des signes laissant penser qu’ils avaient compris mes problèmes, et surtout sont les seuls qui m’ont promis de m’aider… Mais au lieu de le faire, ils ont « classé » mes dossiers au bout de quelques mois, ce qui a renforcé la torture (cf. supplice de Tantale)… Or, après plus de deux ans de tentatives pour obtenir une réponse d’eux, quelqu’un de chez eux m’a répondu récemment (peut-être par inadvertance ?), mais évidemment les problèmes sont arrivés immédiatement : la personne a commencé par ne plus me répondre (dès mon deuxième courriel), puis suite à mon insistance elle a fini par m’écrire que ce que je décrivais ne correspondait pas aux missions du DDD (croyance que j’aurais dû deviner tout seul, je présume), en me parlant d’autre chose que ce que j’explique (c’est à dire en ignorant totalement la description de mes problèmes administratifs personnels, et en évoquant (ou invoquant) une théorie à propos de ce qu’elle a compris, qui n’a pas grand chose à voir).
C’est donc à nouveau une tentative de « communication asymétrique » avec d’un côté un autiste qui fait tous les efforts possibles pour expliquer de toutes sortes de manières, et d’un autre côté…  en gros, exactement le contraire
(i.e. le minimum d’efforts pour répondre et pour comprendre, et, si on comprend, alors de préférence surtout pas des choses permettant d’aller vers des solutions, mais plutôt n’importe quel amalgame permettant de se débarrasser du « problème » (ou de la « personne-problème » ?) aussi vite que possible, et de préférence sans l’en informer – toutes choses semblant assez courantes chez le DDD (et les autres trucs administratifs) – à croire qu’ils ont une formation pour ça, pour ignorer ceux et celles qu’on appelle les « sans-solution » dans le jargon administratif, autrement dit ceux et celles qui ont encore plus de difficultés que les autres, auquel cas l’inhumadministration, au lieu de redoubler d’efforts, déclare tout simplement forfait (l’abandon, la reddition et ce que j’appelle « l’autruchisme » étant des traditions profondément ancrées dans la mentalité des « responsables » en France).
Evidemment, avec toutes ces années de sévices, il y a des tensions et des frictions, ce qui ne permet pas l’activation du minimum de bonne volonté administrative nécéssaire (rappelons ici qu’avec l’Administration française il faut toujours supplier, et ces gens ne vous aident que s’ils le veulent bien – et s’ils comprennent, ce qui est rare).
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir une assistance, pour « traduire », pour expliquer, pour diminuer les incompréhensions et les frictions d’ego (qui ne devraient jamais entrer en compte dans le travail cadre supposément professionnel, mais visiblement ces gens sont rarement capables du détachement, de l’abnégation et du professionnalisme nécessaires).

— MDPH / SAVS : J’ai eu droit aux services d’un SAVS (Service d’Accompagnement à la Vie Sociale) spécialisé autisme, mais cela n’a pas fonctionné (à part notamment pour m’inviter à faire des démarches que j’avais déjà faites maintes fois), et ils ont écrit à la MDPH (de manière assez discutable) de telle sorte que celle-ci a décidé que je « ne relève pas d’un service d’aide la vie sociale ». Cette idée semble être dans l’esprit de ces personnes, et si le dialogue était possible on pourrait largement la remettre en question, mais même s’il s’avérait que je ne « relève pas » d’un SAVS, alors il faudrait que l’Etat fournisse un service adapté.
C’est la loi (article L.246-1 CASF).

Car contrairement à ce que prétendent tous ces fonctionnaires (comme par exemple ceux qui refusent les autistes dans les écoles), ce ne sont pas les gens qui sont « inadaptés » aux services (enfin, si on peut appeler ça des « services »…) : ce sont les services qui sont inadaptés aux gens.
L’humain n’a pas à être adapté à des concepts.
Surtout quant ceux-ci sont anti-naturels, ou tout simplement débiles.

Evidemment, à cause de la loi du nombre, de la loi de la normalité, c’est moi qui passe pour un emm.ur, quelqu’un qui a des problèmes avec tout le monde, ou « qui cherche la petite bête », alors qu’en réalité je suis victime de tous ces sévices (que je n’ai jamais demandés), et il est très facile de démontrer que la loi n’est pas appliquée, que les fonctionnaires sont fautifs, ne font pas d’efforts ni de bonne volonté ni de compréhension (mais en sont-ils capables ?)… En gros je peux montrer que j’ai raison, mais ça, les fonctionnaires ne veulent surtout pas en entendre parler (puisqu’ils sont censés être infaillibles – concept parmi les plus débiles du système), ce qui explique aussi pourquoi ils refusent de dialoguer, ce qui est « trop facile », et injuste.

Je pense que mes difficultés (administratives, de communication etc.) et le cas que je décris peuvent être transposés aux situations de très nombreux autistes adultes autonomes ou semi-autonomes, peut-être la totalité d’entre nous. Ce n’est pas juste l’histoire d’un enquiquineur. Evidemment, quand un autiste essaie de se défendre, de se rebeller, c’est pénible pour les servants serviles du « service public » qui n’aide que les « gens normaux », au détriment des autres, perçus comme des « problèmes », des « cas sociaux », des « malades » etc.
Et bien sûr quand la lecture d’un paragraphe des écrits d’un « malade » laisse apparaître le doute comme quoi c’est peut-être lui qui a raison, face à un système de MERDE (ce que les incriminés savent mais refusent de reconnaître), alors c’est la panique générale dans le cerveau fonctionnarial, le bousculement des certitudes bien établies avec les règles, ordonnances, circulaires, règles, formulaires et autres, prévus uniquement pour la majorité, parce que les gens pas normaux, ça ennuie, ça dérange le petit train-train pépère. Tout ça est simple à comprendre, quand on est intellectuellement honnête, ou quand on a le droit de voir la vérité, et d’en parler sans hypocrisie. Autrement dit, ce sont des choses interdites pour les fonctionnaires, asservis à un système erroné, fallacieux, anti-humain, anti-naturel, et DEBILE.

Qui peut m’aider à trouver un service d’assistance sociale fourni par l’Etat français ?? Ca doit bien être possible quand même, c’est LA FRANCE !! (cocorico etc.). Il y a plein de gens qui ont plein d’aides et d’assistances, de partout en France, donc pourquoi pas aussi les autistes autonomes (car mon cas n’est qu’un exemple) ? Ou alors il faut juste qu’on souffre, qu’on fasse des crises de plus en plus, et qu’on aille alimenter des hôpitaux (ou des cimentières), dans ce système français POURRI et monstrueusement inhumain, c’est ça ??
J’aimerais trouver des solutions avant ma mort, et en théorie il me reste moins de 40 ans à vivre.
Après environ 30 ans de supplices administratifs français idiots et injustes, peut-être que je pourrais avoir droit à un peu de répit, à un vague semblant d’espoir.
Dans tous les cas, après tout ce que ces fumiers inhumadministratifs – ces larves minables – m’ont fait (et pas qu’à moi, ces saletés) je ne me résignerai JAMAIS à la loi de l’injustice débile et puante ! Quel que soit le prix à payer.

Merci.

Eric LUCAS


 

Pour ceux qui croiraient que j’exagère ou que j’invente : j’ai reçu une réponse de la dame du DDD, presque immédiatement après lui avoir envoyé le lien vers cet article, me disant qu’elle m’a déjà expliqué que le DDD ne pouvait pas m’aider (sur la base d’un amalgame avec « mon association » qu’elle a décidé de faire toute seule), et même me demandant de ne plus lui écrire !
Si c’est pas de la torture, c’est quoi ? Les gens sont pas des chiens !
Non seulement il me faut des années d’efforts et de patience pour obtenir une réponse du seul truc qui peut m’aider (mais qui a classé mes dossiers), mais en plus la dame comprend de travers (mais ne dit rien), ne répond pas, puis daigne répondre un truc montrant qu’elle n’a rien compris, puis ne veut plus rien savoir, et envoie chier les gens ! PARDON DE DERANGER, HEIN !!
J’avais évidemment répondu à cette dame, très poliment, qu’elle se trompait, que mes demandes (pourtant largement explicites) ne concernaient pas l’asso, mais visiblement elle ne voit que ce qui l’arrange.
Et c’est sur CA que les gens doivent compter pour se faire défendre, et ça s’appelle « Défenseur des Droits » !!! Quelle sale blague. La fumisterie et le cynisme sinistre, version excellence made in France.


DelDDD75 – BONNAUD Brigitte brigitte.bonnaud@defenseurdesdroits.fr

22 juin 2018 11:00

 
À Eric

Bonjour Monsieur

J’ai lu attentivement votre article. Vous me soumettez un problème d’insuffisante prise en considération des thèmes de votre Association par l’Administration. Il s’agit d’un problème politique qui dépasse les compétences du Défenseur des Droits. celui-ci ne traite que des dysfonctionnements du service public (par exemple, non versement de retraites, non réponse d’un service fiscal à une réclamation précise formulée par un contribuable….).

je ne peux donc vous être utile, je le regrette.

Bien cordialement

Brigitte BONNAUD


 

Eric LUCAS 

1 juil. 2018 13:30 (Il y a 10 jours)

 
À DelDDD75
Bonjour Madame, désolé pour ce nouveau malentendu, on ne doit pas parler des mêmes articles.
Je vous joins donc à nouveau, ci-dessous, mon email avec les liens vers les articles expliquant mes problèmes personnels dûs à l’Administration.

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Bonjour Madame Bonnaud (DDD75) et merci beaucoup pour avoir répondu, surtout aussi rapidement.

C’est épuisant et torturant pour moi de devoir toujours tout réexpliquer à chaque nouvelle personne, qui va ensuite laisser tomber mon dossier et ainsi de suite.

Donc je ne vous enverrai pas de « petit dossier », et j’en suis désolé.
Le dossier est au 7 rue St Florentin. Il ne faut pas aggraver la torture.
 
Par contre je peux tout de même à nouveau réexpliquer des choses par oral, comme je l’ai proposé, mais seulement une fois que vous aurez pu prendre connaissance de mon dernier article (pas écrit pour vous, mais qui permet déjà de débroussailler).
Pardon pour le ton, mais là encore je suis poli, dans cet article.
 
Si c’est « trop long », vous pouvez lire ceci (évidemment moins explicite) : 
http://ericlucas.org/recherche-d-aide-pour-obtenir-une-reponse-du-defenseur-des-droits/

ou :  http://ericlucas.org/20180401-pour-le-defenseur-des-droits-rappel-du-dossier-urgent-depose-chez-vous-fin-2015-nouvelle-demande-de-cessation-de-supplice-administratif/
http://ericlucas.org/comment-obtenir-une-reponse-du-defenseur-des-droits/
etc etc
http://ericlucas.org/lettre-a-personne-veuillez-laisser-letat-dans-les-toilettes-ou-vous-lavez-trouve-en-entrant/
http://ericlucas.org/la-france-un-etat-de-m-tortionnaires-handicapes/
http://ericlucas.org/20170925-nouvelle-tentative-de-communication-pour-rechercher-des-solutions-au-handicap-ne-du-trouble-non-autistique-du-mutisme-administratif-francais/
http://ericlucas.org/20170921_el-admfr_nouvelle-tentative-d-un-autiste-pour-comprendre-comment-communiquer-avec-les-responsables-et-complices-de-son-supplice-administratif-dans-le-but-de-l-adoucir/

Où sont les aménagements ou l’accessibilité universelle à prévoir par le DDD pour les autistes ?
Histoire d’éviter les « agacements » de fonctionnaires prêts à « jeter » un autiste à la poubelle, juste par souci d’égo, et à transformer ainsi un calvaire en martyre ?

Merci.

—–

 
Je ne sais pas s’il apparaît clairement que j’ai besoin d’assistance à la communication, pusique les gens ne comprennent pas ce que j’explique, ne répondent pas, me parlent d’autre chose, etc.
 
En espérant que vous pourrez lire au moins un article, et voir qu’il y a bien un souci au niveau du DDD, je vous prie d’agréer mes salutations.

 

Eric LUCAS

1 juil. 2018 13:33 (Il y a 10 jours)

 
À DelDDD75,
P.S.  je viens de survoler la page principale qui tente d’exposer mon problème, 

et je n’y ai pas remarqué de rapport avec l’association.
Je suis désolé pour ces confusions.

Pardon si le ton de l’article est un peu énervé, on le serait à moins.



Le « clou » de la journée (on n’est jamais au bout de nos surprises et de nos peines, avec l’Administration française) :

 

DelDDD75 – BONNAUD Brigitte brigitte.bonnaud@defenseurdesdroits.fr

13:46 (Il y a 9 heures)

 
À Eric
Bonjour

je vous ai déjà répondu que le défenseur des Droits n’était pas compétent pour résoudre votre problème. Merci de ne plus m’envoyer de mails

Bien cordialement

brigitte BONNAUD


Eric LUCAS

23:11 (Il y a 4 minutes)

 
À brigitte.bonnaud
Madame Brigitte Bonnaux, déléguée du DDD de Paris et pour les Français de l’étranger 
Merci pour votre incroyable réactivité : seulement cinq minutes pour me répondre.
Toutefois il faut vraiment être « bien accroché » pour lire votre courriel (la torture atteint encore de nouveaux sommets) :


« Bonjour
je vous ai déjà répondu que le défenseur des Droits n’était pas compétent pour résoudre votre problème. Merci de ne plus m’envoyer de mails
Bien cordialement
brigitte BONNAUD »

J’ai déjà répondu à votre déclaration erronée (que vous me rappelez encore aujourd’hui) en expliquant que ma demande est d’ordre personnel et non associatif.
Je vous renvoie donc ce texte, pour la deuxième et troisième fois, ci-dessous.
J’aimerais savoir si – au vu de mes très nombreuses et très explicites explications (montrant indirectement que cette histoire d’association est hors-sujet) vous maintenez votre version de la confusion avec une question d’associations, et si vous maintenez votre injonction de ne plus vous contacter.
Je n’aime pas tellement être traité comme un chien galeux (même si évidemment j’y suis habitué par les services publics français).
Je ne crois pas être responsable de vos difficultés de compréhension et amalgames, et je renouvelle mon souhait d’une assistance à la communication (demande qui – pour l’instant – ne fait pas partie de mes demandes envers les services du DDD).
J’aimerais également savoir qui contacter au sujet de la question du « classement » de mes dossiers par le DDD, début 2016. On a le droit de discuter et de comprendre, ou bien faut-il juste se soumettre – si possible sans broncher – aux caprices, errements et mauvaises grâces de services du DDD ?…
Je note que la torture que je décris vous est parfaitement indifférente, et je vous serais reconnaissant de bien vouloir ne pas l’aggraver par l’incohérence méprisante de la « cordialité » dont vos salutations agrémentent votre fin de non-recevoir surréaliste. 
Et puis, si je ne faisais pas d’efforts pour être « adapté » et « poli » avec des gens qui me marchent sur la tête, je vous dirais que « Brigitte », ça prend une majuscule, désolé. (J’ai cherché en tant que nom commun dans le dictionnaire – on ne sait jamais – mais le résultat le plus proche est « briguâtes ». Si on veut être rigide, incompréhensif et buté, moi aussi je sais faire, c’est pas un problème).
Ah et au fait, j’aimerais aussi qu’on arrête de me prendre pour un débile mental.
Ce n’est pas parce que je suis autiste que je ne comprends rien. Si vous lisiez mes explications, peut-être que vous vous en apercevriez. Décréter que les gens sont abrutis, et les envoyer sur les roses, tout le monde sait faire. 
Quand ça vient du « Défenseur des Droits », qui est souvent le seul recours que peuvent trouver les victimes de l’Administration, pardon mais je m’insurge !
J’attends votre réponse (ou non-réponse), que j’espère la dernière (vous concernant), afin de traiter ce sujet (ces « échanges ») de la manière la plus appropriée.
Dans l’espoir de « ne plus vous envoyer de mails », après votre réaction attendue à cette mise au point.
Eric LUCAS, autiste – traité comme un déchet par l’Administration française et par les services surréalistes du « Défenseur des Droits » français.