De : Eric LUCAS <***@ericlucas.org>
Date : 25 décembre 2017 à 14:06
Objet : 20171225 Nouvelle demande d’aide et de réponses pour faire cesser le Supplice Administratif Français maintenu volontairement par l’Etat français à mon encontre
À : ***cluzel@pm.gouv.fr, ***martinon@pm.gouv.fr, <***andonian@diplomatie.gouv.fr>, S, J
Cc : ***@ohchr.org, ***@ohchr.org, ***@ohchr.org, ***@ohchr.org, ***@elysee.fr, ***@elysee.fr
Madame la Secrétaire d’Etat chargée du Handicap et de l’Exclusion
Madame Karen Martinon, Cheffe de Cabinet, désignée par le Consulat de France à Rio comme la personne correspondant à ma demande d’interlocuteur
Madame Marion Andonian, Service social du Consulat de France à Rio
Madame S., personne diagnostiquée autiste ayant dit qu’elle voulait m’aider (mais soutenant passivement l’imposteur anti-autistique (…) (que je suis obligé de combattre) et travaillant dans le lobby médico-social que je dénonce)
Monsieur J., responsable d’association essayant de m’aider (mais soutenant implicitement l’imposteur anti-autistique (…), et soutenant la Dictature du Daniélisme que je dénonce)
Copie :
Monsieur Michel Forst, Rapporteur Spécial des Nations Unies sur la situation des Défenseurs des Droits de l’Homme
Monsieur Dainus Puras, Rapporteur Spécial des Nations Unies pour le Droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale
Madame Catalina Devandas-Aguilar, Rapporteuse Spéciale des Nations Unies sur les Droits des Personnes Handicapées
Monsieur le Rapporteur Spécial des Nations Unies sur la Torture et les autres traitements cruels, inhumains et dégradants
Monsieur Alexis Kohler, Secrétaire Général de la Présidence de la République française
Monsieur Patrick Strzoda, Chef de Cabinet de la Présidence de la République française
Le 25/12/2017
En tant qu’autiste Défenseur international des autistes et des minorités vulnérables, martyrisé à ce titre par un Etat français conscient de mes dénonciations révélant ses agissements intolérables, cyniques et malfaisants en matière d’autisme, notamment son double-jeu concernant la nécessaire désinstitutionnalisation des personnes handicapées, que je tente de défendre depuis des années, et nouvellement le traitement inhumain et dégradant par les pouvoirs publics consistant à soutenir un imposteur anti-autistique,
en tant que victime d’un Supplice Administratif Français personnel insoutenable (http://ericlucas.org/ supplice-administratif- francais/ ), déjà très largement décrit, je vous prie, comme toujours depuis plus de 2 ans, de m’indiquer les noms et adresses courriels des interlocuteurs des services publics capables, accessibles, et qui vont me répondre et m’aider (et sans m’insulter en me parlant de MDPH, de SAVS ou de CCAS, qui ont clairement démontré leur incapacité ou non-compétence à ce sujet).
Si le présent courriel n’est pas écrit de manière « correcte », il incombe à la société (donc à vous) de mettre en oeuvre les aménagements raisonnables nécessaires à la « traduction / correction » de mes écrits.
Moi, je fais déjà énormément d’efforts ; et « en face », je n’en vois aucun de la part des services publics censés respecter la CDPH de l’ONU et les lois françaises.
Si vous ne comprenez pas ou ne croyez pas ce que j’écris (ou ce que parfois je hurle, face à votre mutisme effrayant et écoeurant), ou si vous ne savez pas quoi faire, il suffit de me le dire et je vous expliquerai.
Mon Supplice Administratif Français ne va jamais se résoudre
– ni par le silence,
– ni par des procédures administratives ne correspondant pas aux situations qu’elles croient pouvoir traiter (et donc contraires aux droits fondamentaux et aux conventions internationales),
– ni par l’intervention de bénévoles dénués de tout pouvoir et n’ayant pas le temps de comprendre, ce qui souvent finit par annihiler mes nécessaires arguments.
Je précise que le SEPH n’a jamais daigné me répondre, ni en tant que responsable associatif, ni en tant qu’usager (ou plutôt victime), notamment à ma lettre du 18 mai 2017 demandant l’application du droit de jouir du meilleur état de santé mentale.
Concernant la question brûlante du supplice insensé, idiot, insupportable et intenable DE 15 ANS (bien lire : 15 ANS) résultant des injustices dans la gestion du titre de séjour de mon ami-soutien-moral-de-vie, qui atteint un niveau encore plus élevé depuis quelques mois, avec des crises délirantes de mon ami, que j’avais prédites, et les démêlés judiciaires en résultant de manière prévisible, je sais que « je parle chinois » mais je vous redis encore une fois que seul le Président de la République peut appuyer sur le bouton rouge pour mettre fin à cette infamie absurde, qu’il ne pourrait pas cautionner s’il en avait connaissance. (Il suffit en effet d’allumer un cerveau en état de marche et non corrompu par les artifices et pseudo-raisonnements administratifs débiles, pour voir en moins d’une minute que tout ça n’a aucun sens, ne peut pas être justifié, est INHUMAIN, INDEFENDABLE, INDIGNE DE LA FRANCE ou du moins de l’image que vous prétendez donner).
Mais bien sûr, personne n’a le courage de transmettre mes lettres aux bons endroits, et donc la situation s’aggrave constamment, et naturellement, l’Administration, TRES largement responsable de tout ça, ne reconnaît jamais ses torts, et en profite pour tenter de justifier son acharnement sur mon ami en mettant en avant ses actes désespérés et répréhensibles, qui ne résultent que du cauchemar dont elle est responsable, ce qui constitue le comble de l’injustice, de la cruauté, du cynisme, de l’aveuglement, de la bêtise, et aussi une forme de « double peine » contre une personne dont le crime principal est de m’avoir aidé à surmonter les barrières sociales imposées aux autistes, et d’avoir cru pouvoir vivre une vie normale en France. La honte et l’indignité sont absolues, le non-sens non-autistique bat des records.
Je vous demande de m’indiquer précisément ce que vous avez fait pour m’aider ou pour me répondre depuis ma grève de la faim de deux semaines en juin 2017 effectuée dans ce but, où je demandais au moins un interlocuteur, ce à quoi personne n’a daigné répondre, le Ministère des Affaire étrangères se bornant à ne pas répondre au Consulat (d’après ce dernier), et le Consulat allant même jusqu’à bloquer mon adresse courriel.
Quand je pense que la France se targue de défendre les droits de l’Homme et les opprimés… No comment…
Je précise que je ne compte pas faire une nouvelle grève de la faim car il a fallu plusieurs mois pour que disparaissent les vertiges en résultant.
(Dois-je rappeler que je suis une personne très sensible, à tous les niveaux ? Votre comportement est vraiment odieux.)
Il faudra bien que je trouve d’autre méthodes. Je ne peux pas accepter de subir la torture sans rien faire.
Je demande notamment à Madame S., qui dit avoir « fait jouer tous ses contacts », ce qu’elle entend par là, et quels en sont les résultats précis. (Je ne lui demande pas de me dire quels sont ses contacts, mais j’aimerais savoir ce qu’on fait (ou pas) dans mon dos, surtout quand je ne vois aucun résultat, et surtout de la part de personnes complaisantes avec un ennemi mortel (…)).
Je m’élève contre le « paternalisme filtrant et opaque » dont je fais l’objet, d’autant plus insultant qu’il est inefficace, et encore plus insultant et à vomir, et cynique, quand cela est pratiqué sur la personne d’un défenseur des droits de l’homme et des autistes qui lutte pour l’autonomie.
Je demande de l’aide, et non pas que des gens qui ne comprennent pas (et qui le disent !) fassent les choses à ma place.
Si je n’ai pas d’interlocuteur, comment puis-je faire ??
Je refuse cette confiscation des interlocuteurs et de mon droit de me défendre par moi-même !
Cela fait plus de deux ans que je vous pose la même question (« Qui ? » (va enfin me répondre et communiquer honnêtement sur ces dossiers)) sur tous les tons, calmement, en criant, par lettres recommandées, et je ne reçois que du silence méprisant, ou des critiques sur mon comportement.
Je vous prie de m’expliquer si c’est bien comme cela que vous comptez aider les personnes handicapées, et lutter contre l’exclusion, en martyrisant un handicapé qui n’a pas d’autre choix que de s’exiler, pour sauvegarder sa sérénité mentale mais aussi pour se protéger d’un risque d’hospitalisation abusive (rendu encore plus préoccupant depuis ma révolte contre la « clique daniéliste » et tout le reste (… etc.))
Enfin, je prie Monsieur J. de m’expliquer :
– pourquoi il me dit que la réponse du Cabinet du Ministère de l’Intérieur, que j’ai reçue quelques jours après mon initiative personnelle pour les contacter, serait censée être le résultat des actions que J. et S. me disent être entreprises au niveau du SEPH, sans que je ne puisse en savoir plus ;
– pourquoi il me dit que cette personne du Cabinet du Ministère de l’Intérieur serait l’interlocuteur que je demande, alors que sa seule lettre me dit en gros qu’elle a fait exactement ce que je la suppliais de ne pas faire, c’est à dire de transmettre à la Préfecture en croyant que celle-ci pourrait régler le problème, tout en me disant qu’elle n’avait rien à me dire de plus, et en le confirmant même par une deuxième lettre.
Si une personne
– qui ne tient aucun compte de mes arguments,
– qui fait exactement ce que je supplie de ne pas faire,
– et qui ne veut rien me dire de plus,
est considérée comme l’interlocuteur que je demande à corps et à cris depuis environ deux ans, je suis sans doute trop bête, alors expliquez moi quoi faire avec ça.
J’attends une réponse.
Si vous avez du mal à comprendre en quoi consiste mon supplice, veuillez l’indiquer en retour, et je vous expliquerai encore, avec encore de nouveaux angles, arguments et détails.
C’est soit une histoire de fous, soit de la mauvaise volonté éhontée de votre part.
Dans tous les cas, c’est abject et à vomir, et d’une hypocrisie sans bornes.
A défaut je considère que les centaines de lettres et pages internet le décrivant auront suffi à vous le faire comprendre.
De la même manière, j’ai très lourdement insisté sur la nécessité de lire mon texte démontrant le caractère central de l’autisme dans tous mes déboires administratifs,
(nommé « Explications tres importantes censees permettre de beaucoup moins mécomprendre mon supplice administratif et aussi son indissociabilite d avec l autisme. A lire absolument pour enfin commencer a comprendre les fondamentaux sous jacents. »)
qui ne peuvent pas être expliqués ou compris autrement qu’en prenant en compte ce facteur, ce qui suppose une expertise que j’attends toujours que vous fournissiez (pour éclairer votre lanterne, car moi ça fait longtemps que j’ai compris).
Je redis, en français et non en chinois, que toute démarche administrative, y-compris celles relatives au « cauchemar titre de séjour » ne peut qu’être vouée à l’échec si l’autisme n’est pas pris en compte et/ou si on confisque ma parole et mon droit de me défendre moi-même, pour le faire de manière trop imprécise, en réinterprétant mes textes en croyant comprendre les choses mieux que moi, ce qui est, finalement, la cause principale de tous ces problèmes (y-compris celui de la séquestration médicale par l’Etat perpétrée pendant 15 mois, en raison de l’ignorance crasse des médecins, conjuguée avec leur rigidité inhumaine et arrogante, ce qu’on retrouve un peu partout dans tous mes problèmes administratifs français : en gros, si on est plus intelligent que le fonctionnaire en face, aucune chance de s’en sortir (sauf s’il est assez humble, mais ça se trouve très rarement dans les strates du niveau requis actuellement)).
Je vous demande encore une fois de faire le nécessaire, et pour cela il faut comprendre, or aucune compréhension ne sera possible sans une communication dépourvue de filtrage.
Noël n’a aucun sens sous une telle torture, il n’y rien à fêter, et tout ce que j’observe et que je vous reproche m’est insupportablement nauséabond, et, pour tout vous dire, assez minable.
Salutations respectueuses de l’autisme et non des ignobles sévices administratifs.
—
Eric LUCAS
Autiste à haut potentiel altruiste
Défenseur international des autistes – Expert en autismologie
Fondateur de AutisticAlliance.org, Autis
Rescapé de la psychiatrie française
Supplicié administratif français depuis 1994
Demandeur d’asile au Brésil depuis 2017
EricLucas.org