De : Eric LUCAS
Envoyé : lundi 5 février 2018 14:05
À : pref-etrangers@***.gouv.fr
Cc : *** ; ***@interieur.gouv.fr; ***@pm.gouv.fr; jacques.toubon@defenseurdesdroits.fr (mmpppfff…)
Objet : Lettre à personne. – Veuillez laisser l’Etat dans les toilettes où vous l’avez trouvé en entrant…
Après des décennies de torture, de mépris et d’incurie, j’ai le droit d’insulter les fonctortionnaires.
Il n’y a pas de « race supérieure du fonctionnaire français ».
De toute façon, personne ne me lit, pas vrai ? pfff.
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Lettre à personne. Puisque personne ne me lit.
Mon ami n’avait rien demandé de tout ce cauchemar administratif français de m..
Il était bien tranquille en ***, et n’avait même pas dans l’idée de venir en France.
Certes je savais bien qu’il y avait dans l’adm fr des petits trous du cul obtus puants du genre de CHRISTOPHE H***, mais pas à ce point-là… Faut croire que les plus minables végètent dans les plus petites préfectures…
Alors que le cauchemar durait depuis plus de 10 ans et semblait sur le point de se terminer, non, un petit anus préfectoral se prenant pour un gros, du ministère de l’intérieur du trou du cul de la France, a décidé de faire son cow boy, en estimant qu’on n’en avait pas encore assez bavé, et qu’il fallait repartir pour encore 5 ans (au moins).
Sans doute que ça s’ennuie sévère à ***. Tiens, deux « différents », ils sont louches, donc ils sont suspects. On essaie de trouver deux ou trois trucs, et pouf, on sévit. Facile. Pff ça va, en tant qu’autiste j’ai l’habitude de ce mécanisme… (agents de sécurité, CRS, médecins publics et autres limités de service… ça compense ses déficiences intellectuelles par l’autorité, pfff).
Il s’est cru dans un film. Il a inventé des histoires à dormir debout… des trafics de carte de séjour… Il a dit qu’ils ont « fait une enquête et que je n’étais pas dans ma maison en hiver », ce qui n’était un secret pour personne, et cet ersatz d’étron savait bien que mon ami vivait à ***, alors que j’étais en train de me morfondre avec les sans abris à Aix en Pce pendant des mois en hiver, pour me faire faire un certificat Asperger (avec au moins 20 ans de retard, à cause de l’incurie médico-administrative française qui enferme les gens sans être capable de savoir ce qu’ils ont), et que mon ami essayait de ne pas se suicider, dans l’attente éprouvante de plusieurs mois qui recommençait comme à l’époque du cauchemar visa.
Moi-même sans ressources à cause d’une erreur de la CAF, elle-même liée au dossier titre de séjour (mais bien sûr il y a toujours des ahuris pour me dire que ce dossier ne me concerne pas).
Le peu de fois où, n’y tenant plus, j’osais appeler la pref, Mme *** me disait à voix basse d’un ton embarrassé qu’elle ne pouvait rien me dire, que le dossier était dans le bureau du chef (le petit trou du cul, donc), qu’il était en vacances, etc.
J’ai appelé plusieurs fois et même envoyé des emails : si le souci c’était une lettre à laquelle je n’avais pas répondu, et qui m’était sortie de la tête avec tous les problèmes, il suffisait de le dire !
J’ai demandé de l’aide à l’A.S. du CHRS où j’étais, pour ce dossier, mais elle n’a jamais voulu en entendre parler. Donc la lettre est resté dans un classeur et je l’ai oubliée (j’avais déjà bien assez de problèmes.)
On a très bien compris (par la suite) que cette lettre de demande d’attestation CAF (de qui, de quoi, je ne sais toujours pas) était juste un prétexte pour émettre un « classement sans suite » de la demande de titre de séjour. Euphémisme pour dire « refus ». Et la pauvre ta