Bonjour, j’aimerais savoir où je puis m’adresser pour obtenir une explication officielle de l’Etat français concernant l’injustice aberrante suivante.
Je lis en effet dans un article de presse :
« L’assaillant est Abdoullakh Anzorov, un Russe tchétchène de 18 ans
Le terroriste est un jeune Russe tchétchène de 18 ans, né à Moscou. Connu pour des antécédents de droit commun, il n’a jamais été condamné. Il n’était pas connu des services de renseignement pour radicalisation, selon plusieurs sources proches du dossier. Il a obtenu le 4 mars 2020 un titre de séjour valable jusqu’en mars 2030. Il a le statut de réfugié et habitait à Evreux (Eure). »
Indépendamment de ce nouveau drame que je ne commenterai pas ici,
j’aimerais savoir comment il est possible qu’une personne qui n’était même pas née lorsque notre supplice « visa / titre de séjour » a commencé (le 24/06/2002, il y a plus de 18 ans) ait obtenu aussi facilement et « magiquement » une carte de séjour de 10 ans, alors que mon ami et moi nous galérons dans la torture administrative française pour de misérables renouvellements annuels, consentis au compte-goutte par une Administration qui fait tout ce qu’elle peut pour nous brimer et pour ne pas comprendre quand ça l’arrange.
Ce n’est pas une question « rhétorique ». J’exige une réponse et une justification.
Ce sera un nouveau combat.
Où puis-je m’adresser ? Ministère de l’Intérieur, des Affaires Etrangères, Premier Ministre, ou quoi ?
Défenseur des Droits ?
Quel service public daignera m’indiquer comment procéder ?
P.S. Dans un autre article sur la même tragédie, je lis :
«Ce professeur avait appelé à l’aide, mais il n’a pas été entendu.»
« Un couple de professeurs du coin, elle à Bezons, lui à Conflans, garnit la foule. Gilles a appris la nouvelle la veille, via le réseau WhatsApp de collègues. «Au début, je n’y croyais même pas, c’est tellement dramatique.» Leur colère vise avant tout l’Education nationale, qui «cache et dissimule, affirmant que tout est sous contrôle, alors qu’on constate bien au quotidien que c’est faux». Décrochage lors du confinement, cas de Covid-19 dans les établissements, «tout», à leurs yeux, est «faussé» par l’institution, qui n’a pas son pareil pour «mettre sous le tapis» ce qui la dérange. «
C’est exactement ce que je dis depuis des années !
Pour l’Education nationale comme pour les autres administrations, c’est le pays de Tartuffe, de la tromperie, du « faire semblant » !