DDD : Nouveau rappel de demande d’information pour savoir comment obtenir une réponse

Eric LUCAS ***@gmail.com

14:33 (il y a 0 minute)

 
À emma-luna.cruz-sanchezfabien.dechavanneconstance.riviere
20191228 ELO_ICAMDAAD–DDD-ROAD(19-020289) Nouveau rappel de demande d’information pour savoir comment obtenir une réponse
 
Madame Emma-Luna CRUZ-SANCHEZ (DDD)
Copies :
– Monsieur Fabien DECHAVANNE (DDD)
– Madame Constance RIVIERE (DDD)
 
Votre dossier N° 19-020289
 
Le 28 décembre 2019
 
Madame,
 
Ne voyant pas d’autre option, je suis dans l’obligation de revenir vers vous pour vous demander à nouveau comment il convient de procéder pour obtenir une réponse à mon email du 23 octobre 2019 (rappelé le 1er novembre 2019, et en copie ci-dessous) qui vous demandait comment faire pour avoir une réponse de votre part à mes deux courriels du 17 octobre 2019, lesquels faisaient suite et apportaient des éléments nouveaux à votre unique réponse du 16 octobre 2019 m’indiquant que ma sollicitation initiale « ne relève pas du champ de compétences du Défenseur des droits. ».
 
En supposant que l’institution du Défendeur des Droits pourrait être censée vouloir lutter contre les troubles liés aux excès de formalisme administratif et contre l’exclusion de l’accès aux droits affectant les personnes défavorisées et/ou handicapées, vous souhaiteriez peut-être accepter de reconsidérer cet échange avec une meilleure attention renforcée, notamment dans la mesure où celui-ci semble assez représentatif des malentendus récurrents et des difficultés de communication illustrant nos – improductives – tentatives depuis environ cinq ans.
 
A ce sujet – et comme déjà évoqué – il conviendrait peut-être de bien vouloir informer le public sur les mesures d’accessibilité éventuellement mises en oeuvre par votre organisme au bénéfice des usagers handicapés par les troubles administratifs (tels que le mutisme administratif et l’incompréhension administrative), de même que sur d’éventuels projets internes visant à réduire les dits troubles, peut-être par une formation adéquate ou au moins par la présence d’un « référent autisme », ce que j’ai proposé maintes fois – notamment dans le cadre d’une association d’autistes.
 
Une réponse de votre part s’inscrirait utilement – je le pense – dans l’étude des mesures et outils publiquement accessibles en France par les personnes handicapées, lors de l’examen de l’Etat français par le CDPH de l’ONU en 2020.

Note : Lors d’une rencontre associative avec Monsieur Jacques TOUBON en mai 2015, celui-ci m’avait semblé attentif au respect des droits de l’enfant. Il se pourrait donc qu’il en soit de même en ce qui concerne les personnes handicapées.
 
Dans cette attente et dans cet espoir renouvelé, je vous prie de croire, Madame Emma-Luna CRUZ-SANCHEZ, à l’assurance de ma parfaite considération.
 
Eric LUCAS
Autiste « Asperger »
Martyr Administratif Français
Demandeur d’Asile au Brésil