Le 09/10/2019
Madame ou Monsieur le Responsable du Bureau des Relations avec les Usagers de la Préfecture de ***
Merci infiniment pour le fait d’avoir bien voulu me répondre, aujourd’hui :
« Bonjour Monsieur LUCAS,
Comme il est indiqué au bas de ce message, il vous était demandé de préciser l’objet de votre demande,
afin de pouvoir l’orienter vers le service destinataire de la Préfecture ou d’une Direction départementale
interministérielle, le cas échéant.
En l’absence de cette précision, il est impossible de pouvoir vous donner une réponse.
Cordialement. »
Concernant votre demande de précisions du 18 juin 2018
(« Bonjour Monsieur,
Afin d’orienter votre message vers le service susceptible de vous renseigner, merci de bien vouloir exposer les motifs que vous conduisent à saisir différents ministères ainsi que la préfecture.
Cordialement
–« ),
j’y ai répondu le 20 juin 2018 par un message assez long et précis (mais – je l’espère – pas trop long ni trop précis pour en empêcher la lecture).
« Bonjour, j’attends votre réponse depuis juin 2018.
Qui va enfin m’aider à obtenir enfin des réponses de la Pref **, que l’ENSEMBLE de l’administration française me désigne comme unique interlocuteur ?
Où est l’aide à la communication à laquelle j’ai droit, ou au moins une assistance sociale ??? (Nom, prénom, email) ?
Pourquoi tant de torture ???
Ca fait des années et des années que je demande !
En effet, si des mesures d’accessibilité universelle ou un tel service exist(ai)ent, ainsi qu’il est prévu par diverses dispositions et par les Conventions internationales (notamment la CDPH de l’ONU, ratifiée par l’Etat français et entrée en vigueur le 20 mars 2010), alors les difficultés seraient moindres puisque la présence d’un « référent autisme » (par exemple) au niveau départemental ou même national pour conseiller les services administratifs aux prises avec des difficultés « psycho-administratives » avec des usagers, vous aurait probablement amené(e) à me dire que mes explications n’étaient pas suffisantes (si tel est le cas).
Ces demandes sont très précises. Trop pour être comprises, peut-être, mais là je ne sais pas quoi y faire, mes compétences en termes d’approximation (voire de confusion) étant très limitées.
Certaines de ces demandes démontrent même que cela ne peut pas être votre Préfecture qui pourrait répondre de manière fructueuse car, cela impliquerait de reconnaître certaines erreurs (de votre Préfecture et d’autres), ce qui me semble impossible (d’après ce que j’ai observé du fonctionnement administratif préfectoral ces 25 dernières années).
Mais, au niveau administratif, ce que je pense n’a aucune importance, et d’ailleurs les ministères ont ignoré ces explications. Donc il n’y a pas d’autre choix que de « se plier aux décisions de l’Administration » et de faire ce qu’ils me conseillent de faire, sans quoi on me reprochera de ne pas l’avoir fait, et ce sera « ma faute ».
Donc pour l’instant tout est bloqué au niveau de ces tentatives de communication avec « la Préfecture de *** », ce qui explique – vous le comprendrez – mon insistance. Croyez bien que si je pouvais m’en passer, je le ferais très volontiers.
(Pardon, mais aucune cordialité ne semble possible – ni même décente – dans le cadre d’une torture administrative sur personne handicapée depuis plus de 25 ans par deux préfectures successives, dont les présents troubles épistolaires ne sont qu’un infinitésimal fragment.)