Rappel d’avril 2018 des demandes de « laisser-passer A-38 » de septembre 2014, janvier 2017, septembre 2017, etc., entre centaines d’autres, toutes vaines

RAPPEL DU 15 AVRIL 2018


Eric LUCAS el@ericlucas.org

20/09/2017

 

À : ***

Le 20/09/2017

Ce courriel est destiné aux services suivants, que je prie, chacun, de m’aider ou au moins de daigner me répondre :
– SEPHLE
– CIH 
– MAE (Consulat Rio)
– SAVS 
 
Désolé de déranger avec mon problème de supplice adm fr et d’absence d’aide et de réponses.
Merci
EL
 

De : Eric LUCAS
Envoyé : mercredi 25 janvier 2017 16:39
À : ****@sante.gouv.fr; CAB-PHE-SP@sante.gouv.fr
Cc : ***
Objet : Demande de laisser-passer A-38 – Nouvelles tentatives pour que quelqu’un sorte de son automatisme inhumain

P.S. : et comme toujours depuis plus d’un an, je vous redemande encore QUI est mon interlocuteur, pour savoir à QUI adresser mes demandes. C’est trop facile de me dire « tu ne t’adresses pas aux bonnes personnes ». S’il n’y a PERSONNE pour mettre fin à ce binse, eh bien c’est une Administration INCAPABLE. Une Incapadminstration qui par conséquent n’a pas le droit de faire souffrir les gens, et dont l’interprétation des « règlements » est légitimement contestable par les usagers opprimés.

Bonjour

Désolé mais je reviens vers vous, suite à mon appel au secours de septembre 2014 ci-dessous (et à 14 ans d’autres courriels similaires), pour vous demander quel type de formulaire il faut demander, et à qui, afin d’obtenir le laisser-passer A-38 (https://www.youtube.com/watch?v=DTqvL74dAEw) qui, je le suppose, devrait permettre d’accéder au bureau secret où quelqu’un pourra enfin mettre fin à cette histoire de fous (cauchemar titre de séjour de m.)

Je n’ai qu’une vie et je ne peux pas attendre 47 ans (https://www.youtube.com/watch?v=cqTn-8UDSVQ#t=12m21s) que LE fonctionnaire approprié ait l’illumination (ET LE COURAGE !!!) lui permettant de débrayer cette machine à faire souffrir les gens sans raison.

Je pense que si je dois faire une grève de la faim (ce qui semble de plus en plus à craindre, surtout depuis que je sais que l’Administration envisage sans frémir de faire durer l’abomination jusqu’à encore au moins 2020), j’en profiterai pour inclure cette demande de formulaire dans mes demandes. J’ai vu qu’au Brésil on connaît Astérix.

Tout est fait, du côté de l’Etat, pour garantir l’injustice, et pour faire en sorte que tout ça finisse très mal. 
C’est tellement plus facile de faire le mal que le bien, de défendre son petit égo « offensé » (par des vérités dérangeantes, comme pour les petits sous-chefs bornés de pref ** et ** même pas au courant des circulaires, et incapables de comprendre ce qu’autorise le mot « notamment » dans l’interprétation des conditions nécessaires pour le droit au séjour – le Pacs n’étant qu’un élément d’appréciation parmi d’autres) , en s’abritant derrière des règlements mal faits, et en refusant de voir les injustices et les erreurs administratives. 
Ca va, 14 ans, j’ai l’habitude, je connais suffisamment de mécanismes « psychologiques » de l’Administration (en tous cas ceux qui nous font souffrir)…

Mais quand il s’agit d’aider à réparer les problèmes causés notamment par l’Administration, là il n’y a plus personne.
Que du « nous ne pouvons pas », « il est impossible ». 
De l’incapabilisme, de l’impossibilisme.

Vous me forcez à être capable d’actions extrêmes, qui ne me réjouissent absolument pas.

Jamais je ne pourrai accepter sans souffrir une torture toute cette injustice et la continuation (TRANQUILLE de votre côté) de tout ce cauchemar.

En résumé on a d’un côté un autiste qui n’est (presque) pas aidé, qui essaie d’aider les autistes, dont l’association d’autistes n’est aidée par personne, et qui n’a rien demandé d’autre qu’on lui fiche la paix. Sans parler de la souffrance de l’impossibilité de me défendre contre l’injustice de la détention médicale arbitraire.
Et là, les bisounours (comme je l’étais avant) se disent : « C’est la France, pays des Droits de l’Homme, bla bla bla, l’Etat va faire en sorte que ».
Eh non.
Juste parce nous ne « rentrons pas dans les cases », l’Etat trouve NORMAL que cette chienlit dure 14 ans, et ne fait aucun effort pour tenir compte de mes centaines de supplications depuis tant d’années.
Je ne veux pas entendre parler de « repartir pour 5 ans ». Même dans les mauvais scénarios de films brûlots sur la bureaucratie (comme le film « Brazil »), on n’en voudrait pas.
C’est pas la peine de chercher à faire dans le summum de l’oppression, puisque depuis 2002 2003 on a déjà eu notre dose POUR LA VIE !
Mais c’est vrai que vous ne savez pas, et que personne ne peut creuser aussi loin.
Nous, pas besoin de creuser, la souffrance, le martyre, le cauchemar visa 2002-2006, c’est toujours présent dans nos pensées !!!
(Puisque la France ne fait jamais rien pour reconnaître ses erreurs, et les réparer !!).
Et en 2017, il y en a qui ont encore le toupet de venir nous parler de formalités pour des cartes de séjour 
Vous avez quoi à la place du coeur et du cerveau ??? UN FORMULAIRE ??? B-37 ???

Je ne vais pas souffrir la torture sans me défendre, même si je sais bien que ma défense est dérisoire contre l’hydre administrabsurde. Au moins ça me donnera l’impression de faire quelque chose pour s’en sortir.
J’ai mon « protocole provisoire » de réfugié politique au Brésil (oui oui, ricanez), et la France ne peut plus rien contre moi. 
Je pourrai donc faire (si besoin) une grève de la faim sans risque de « manigances » pour me faire expulser / renvoyer dans « mon pays », « pour mon bien » (i.e. pour subir un cauchemar en HP, auquel je ne pourrais pas survivre, d’ailleurs).

Vous ignorez les appels au secours, les supplications, les bouteilles à la mer (on pourrait faire des livres avec, et d’ailleurs c’est prévu, pour dans quelques années, car j’ai pas le temps), depuis au moins 14 ans. Je ne peux pas continuer ainsi, à ATTENDRE sans rien faire.

Je vous demande de prendre connaissance de mes explications complétant la « note sur la situation de *** », que j’ai envoyés il y a moins d’une semaine. Ils devraient aider à vous faire comprendre la dimension globale de cette histoire, qui manifestement reste inaccessible à tous, je le vois bien. Sans comprendre la globalité, on se perd dans des faux-problèmes.

Pour un être humain, aucun règlement au monde ne justifie 14 ans de tortures.
Pour un fonctionnaire, je ne sais pas.

Il n’y a que DEUX mots à comprendre dans cette affaire, pour prendre la bonne décisions :
– QUATORZE
et
– ANS
Tout le reste, c’est secondaire. Des détails à régler pas les fonctionnaires en ayant le pouvoir. Si vous n’avez pas ce pouvoir, eh bien passez l’affaire au-dessus de vous, c’est pourtant simple.
En général les gens qui sont tout en haut comprennent, et ont le pouvoir de faire cesser les …. (pas les mots).

Le 24 juin 2017 devrait être le QUINZIEME anniversaire de ce cauchemar.
Prions pour qu’il n’en soit rien.

Et merci beaucoup pour toute l’aide que vous me fournissez pour aider les autistes.
Et pour tout votre intérêt quand je dis que je peux expliquer l’autisme.
C’est vraiment le monde à l’envers. Et en plus on essaie de me faire croire que je suis en tort ! Pff.
Je parle à des murs.

Eric LUCAS

Laisser passer A38 (Les 12 travaux d’Astérix)
www.youtube.com

De : ***> de la part de Eric LUCAS <***>
Envoyé : mardi 16 septembre 2014 10:39
À : pref-etrangers@***; pref-etrangers@f***; ddc-pmis@sante-travail.gouv.frcab-ass-sp@sante.gouv.fr
Cc : ***
Objet : Impossibilité de continuer ainsi – Demande de titre de séjour définitif.

Madame, Monsieur, 

Nous ne sommes plus en état de continuer à fournir des papiers indéfiniment aux Préfectures successives, avec lesquelles il faut à chaque fois recommencer les explications jusqu’au moment où elles finissent par faire des exceptions, seul moyen de s’en sortir (et qui contribue à prouver que les règles des cas généraux sont injustes et inadaptées, pour notre cas).

Nous estimons avoir fait LARGEMENT assez d’efforts (moi, mais mon ami aussi, en tenant compte de son « niveau »).
Nous estimons avoir plus que largement assez souffert dans cette histoire, pendant 12 ans (pour rien, en plus) de bien plus que l’immense majorité (sinon la totalité) des demandeurs de titres. Il y a donc injustice MANIFESTE.
Si vous voulez des preuves, il y a des milliers de pièces, il suffit de demander.

Rien que l’histoire de l’année 2008 de perdue (à cause du ***), c’est déjà une « double peine » pour mon ami, car sans ça il aurait déjà sa cinquième carte, pour le moins, et serait en état de travailler. 

Les préfectures ne comprennent pas notre situation humaine, ne tiennent pas compte de tout ce qu’on en a bavé, surtout en 2002-2006, nous traitent comme si de rien n’était, ou presque.

En plus, la dernière préfecture nous a traité avec une certaine rudesse et mépris, et volonté manifeste de trouver tous les prétextes pour refuser le titre. Ce traitement, pour ne pas dire ce traquenard (décrit dans l’email précédent, et qui est évident), est inacceptable. Chaque homme a droit à un minimum de dignité. Nous ne pouvons plus indéfiniment être baladés et maltraités ainsi selon le bon vouloir des fonctionnaires, en devant nous conformer à des mesures discrétionnaires, fournir des choses parfois impossibles, ou se retrouver piégés comme cet hiver dans des situations abracadabrantes, et surtout dangereuses pour nous, pour la santé mentale de mon ami, qui dépérit d’année en année.

Vous ne tenez guère compte de mon autisme, de mon hyper-sensibilité, de mes cauchemars administratifs depuis 20 ans (H.O. abusive, ce qui aisément démontrable, et je vais le faire dans un livre (qui ne vous citera pas, soyez tranquilles – dans un autre, peut-être), comme je l’ai fait à l’ONU, qui me croit sans problème).

Vous ne voyez pas le tableau général. Vous nous traitez comme des personnes ordinaires. Désolé pour les dogmes et les « prêt-à-penser », mais ce n’est pas le cas. Si vous n’êtes pas en mesure de voir la réalité, et d’en tenir compte, ou même si c’est juste votre « machine » qui vous l’interdit (à contre-coeur (?)) je n’y peux rien. Il n’est pas envisageable que les hommes se soumettent à un mécanisme machinal, à une machine, dont tout le monde voit bien que c’est inhumain, injuste, destructeur et inutile.

Nous ne pouvons plus souffrir davantage, et qu’on vienne encore nous triturer des plaies difficiles à refermer depuis 12 ans (la cicatrisation n’étant possible qu’une fois que le but aura été atteint : le titre de séjour définitif, donc je ne vois pas l’intérêt de rajouter des obstacles puisque dans tous les cas, ce but sera atteint, et je me battrai toute ma vie pour ça).

Nous ne pouvons pas être sacrifiés sur l’autel administratif des procédures pensées par la majorité pour la majorité.

C’est une simple question d’humanité. 
Nous avons très largement mérité la carte de 10 ans ou la nationalité française (il n’y a qu’à comparer avec les cas d’autres « couples »), et c’est ce que nous attendons.

Nous ne pouvons plus nourrir la machine à faire souffrir sans fin, aveugle, des préfectures, en lui donnant des papiers à manger, des choses qui nous dépassent où qu’on a déjà données il y a 8 ans, des laissez-passer A-38 etc. Nous ne pouvons plus aller encore subir ce grignotage dans les bureaux préfectoraux, sous peine de perdre notre dignité humaine ou notre raison, ou les deux.

S’il existe quelqu’un quelque part dans votre monde bureaucratique qui ait le pouvoir de faire une chose non absurde, humaine, de bon sens, que n’importe qui trouve légitime et juste sauf votre machine, merci.

Salutations.
Eric LUCAS