TOUJOURS RIEN !!!!!!!! Etat Français de MERDE !!!!
Depuis le 7 juillet 2017 (cf. « crise » dans la rue, plus bas), quasiment rien n’a changé.
Coïncidence : presque au même moment se déroulait une conférence grand tralala sur l’autisme à l’Elysée…
L’espoir d’aide par le Consulat (torture-supplice de Tantale, et nous comme des cons on y croit toujours) : une réunion en janvier obtenue de très haute lutte, puis plus rien, pas de réponses, comme d’hab.
7 juillet 2017 :
Crise de rage dans la rue après avoir vu un drapeau français, par surprise, devant un magasin (ce qui m’a rapproché de la France brutalement, alors que quand je sors dans la rue c’est précisément pour ne plus y penser, pour être loin de l’ordinateur).
En prime, une réponse par email de ce jour (18/03/2020) à un ami :
Si mes parents ne m’avaient pas informé, et encore, presque par inadvertance, je n’aurais jamais su que Cluzel leur avait répondu (avec plus de 10 mois de retard suite à ma grève de la faim donc).
Je pense que si Cluzel leur a finalement répondu, c’est suite à l’envoi de ma « bouteille à la mer » (en plastique) à la grande dame patronnesse (celle de la grande maison). C’est juste une supposition.
Moi de toute ma vie, même à ce jour, même à titre associatif, je n’ai jamais vu de lettres du SEPH, sauf celle envoyée à mes parents. Quand on pue on pue.
En plus, je me ruine la vie à écrire des explications sous toutes les coutures possibles et imaginables, et non, les élites administratives ne daignent pas répondre, pour le motif « on ne sait pas de quoi il s’agit » (JDM).
Vous avez pas des doigts pour demander des éclaircissements, au lieu de laisser les gens désespérer et devenir fous, au point de hurler dans les rues à l’autre bout du monde ???
Et ça, ça travaille au Secrétariat pour les Personnes Handicapées ??????? »
« Aux personnes en situation de handicap,
je veux ici dire très solennellement que la République sera toujours à leurs côtés
et qu’à chaque fois qu’il y a une difficulté, une impasse, une épreuve,
qu’ils n’ajoutent pas une forme de culpabilité à ce qu’ils vivent :
c’est la nôtre, de culpabilité, pas la leur.
Eux, ils ont à croire dans leurs rêves.
Votre différence, ça n’est pas celle que nos regards – trop habitués aux normes – croient voir :
votre différence, c’est votre potentiel. »
Emmanuel MACRON
Conférence Nationale du Handicap
Palais de l’Elysée
11/02/2020