Super feux d’artifices. Je pensais être blasé de ça, depuis longtemps (un peu comme avec le « père Noël), mais là je dois dire que la municipalité ne s’est pas moquée du monde.
L’an dernier c’était quasiment toujours pareil du début à la fin (tout en puissance) ; cette année ce fut au contraire très varié.
En France, je n’ai jamais réussi à être « en symbiose » et « content » dans les grandes fêtes populaires : au contraire j’ai fini par préférer les éviter, tant ça devient déprimant de voir des milliers de gens paraissant heureux (?) sans qu’on sache pourquoi, et sans pouvoir en faire autant.
Rien de ça au Brésil, où les gens sont naturellement détendus et souriants toute l’année.
A part si on va dans les quartiers riches (et plutôt « blancs »), où les gens font la gueule et ne regardent personne, comme en France. Mais pourquoi y aller ? Aucune raison, sauf si on veut s’ennuyer et payer tout plus cher – comme en France.
Je trouve très très appréciable de pouvoir être bien au milieu de « gens normaux ». Tout simplement bien, sans prises de tête.
Une belle manière de terminer l’année 2019, et aussi de commencer l’année 2020. C’est vrai que c’est juste une date, une convention arbitraire, mais malgré tout, je vous assure que « baigner » ainsi dans une sorte de « communion » de 2 millions de personnes joyeuses, même si c’est juste pendant une heure, ça met bien les neurones et tout dans de très bonnes dispositions, positives et constructives.
Puisse ce petit clip rendre optimiste ou aider un peu les personnes qui accepteront de le regarder.
(Au début des feux d’artifice, ça bouge parce que je marchais pour (tenter de) me rapprocher de l’eau, mais ce désagrément ne dure que 2 ou 3 minutes. Désolé.)