Bureaucratistan – MEAE : Demande de réponses quant au mutisme relatif à mes rappels concernant l’absence de l’aide administrative promise pour diminuer les injustices et les tortures administratives prodiguées par les services de l’Etat français

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L.R.A.R. RR108153186BR
Monsieur le Chef de Mission
FAE/SFE/MASAS
Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères
37, quai d’Orsay
75351 PARIS
France

Eric LUCAS ◼ Avenida N.S. de Copacabana, 542 ◼ 22020-001 Rio de Janeiro, RJ ◼ Brésil el@ericlucas.org
WhatsApp : +55 21 95 95 00000
ICAMDAAD (Injustice et cauchemar administratifs du mutisme et du défaut d’accès à l’assistance et aux droits)
Demande de réponses quant au mutisme relatif à mes rappels concernant l’absence de l’aide
administrative promise pour diminuer les injustices et les tortures administratives prodiguées par les
services de l’Etat français

Rio de Janeiro, le 25 juin 2020
Monsieur le Chef de Mission
Je vous prie à nouveau de bien vouloir considérer – dans l’espoir que vous consentiez à m’en informer de
l’acceptation – mes présents remerciements pour votre lettre FAE/SFE/MASAS N° 2019-0638596 du 9
octobre 2019 confirmant que « le Consulat de France à Rio de Janeiro est compétent pour [m’]accompagner
dans [mes] démarches administratives françaises » et que ses services « restent à [ma] disposition ».

Je crois en effet qu’il s’agit là de la seule réponse positive reçue de l’Administration française depuis environ cinq ans, et
de la deuxième depuis plus de dix ans. Elle trône désormais en bonne place sur l’une des parois de mon habitation.
Au lendemain du dix-huitième anniversaire de la torture mentale générée par le maintien administratif
des injustices relatives à l’immixtion dans ma vie privée par les services de l’Etat français en
commençant ceux de votre ministère, j’ai l’honneur de solliciter la meilleure attention de votre part dans
l’espoir de réduire les souffrances générées par :
– 1/ Cette torture ;

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– 2/ Son aggravation par le « supplice de Tantale » de la promesse d’une aide qui ne vient toujours
pas malgré ma patience et mes nombreux efforts polis à cette fin (attestés par diverses lettres
recommandées) ;
– 3/ Vos absences de réponse, notamment à mon courriel du 20/03/2020 (reproduit plus bas, pour
votre convenance) ;
– 4/ Eventuellement, si tout se passe « normalement », votre absence de réponse à la présente, etc.
J’aimerais pouvoir vous informer de ce que, pendant que certains fonctionnaires d’élite sont payés pour
donner de la France l’image d’un pays exemplaire en matière de promotion des Droits de l’Homme et de
défense des opprimé(e)s, il existe – tout en bas – de simples mortels qui luttent pour survivre et pour aider les
personnes pas assez « normales » à moins souffrir des Troubles et Sévices Administratifs hexagonaux
(Ici un morceau de phrase semble avoir disparu par erreur pendant la rédaction et je ne sais plus ce que c’est
(et je n’ai pas le temps de reconstituer, ayant AUSSI d’autres choses à faire que m’occuper de cette torture),
mais cela n’a aucune importance puisque personne chez vous ne lit ce que j’écris, ou si c’est lu c’est fait avec
« agacement » et avec pour seul intérêt, apparemment, celui de mieux ressentir la jouissance du pouvoir de
mépriser et de refuser impunément les demandes de « ceux qui ne sont rien » et autres « sans-dents » ayant
l’impudence de vous interpeler et de vous dire à quel point l’empereur est nu – et très laid.)
pour susciter une sorte de velléité d’intérêt dans les hautes sphères et autres palais républicains, comme on
peut le voir facilement dans ce que je décris ici depuis dix-huit ans, entre autres exemples.
C’est au cours de ces luttes rendues nécessaires par ce désintérêt et cette incurie, que l’on découvre l’existence
d’une vraie « humanité » et d’une vraie « solidarité », hors d’une France qui visiblement n’en a plus assez besoin.
Ces combats pour la survie et pour la diminution de ces souffrances inutiles et injustes permettent de
découvrir – puis de rejoindre – les efforts d’organisations internationales telles que celle des Nations Unies.
En lisant les traités internationaux ratifiés par la France dans sa grande bonté extraterritoriale, et tout
particulièrement en analysant certaines « Observations générales » relatives – notamment – à la Convention des
Droits des Personnes Handicapées, on découvre de nombreuses stipulations et dispositions montrant
clairement à quel point le refus de prise en compte du handicap partout (même dans votre noble ministère)
tout comme le refus de réponses, ou – dit plus simplement – le mépris administratif français maintenu par
l’Etat français pour les personnes handicapées, violent outrageusement cette Convention.
Si les « personnes non administratives » et autres plébéiens n’ont nul besoin de lire de tels textes pour
comprendre instantanément l’indécence du fait de marcher sur la tête des personnes vulnérables de la sorte,
peut-être que les élites de votre service (ou de sphères encore plus élevées dans votre ministère) pourraient
daigner au moins faire semblant de donner l’impression qu’elles en connaissent l’existence.
Si tel était le cas, ces services pourraient peut-être alors consentir à accorder une sorte d’attention – même
fugace – à mes suppliques de fin (ou de diminution) de torture et de demande d’aide.
Ceci rendrait alors un peu moins acrobatique le pénible (et bien laborieux) exercice dévolu à d’autres services
de votre ministère consistant à rédiger des réponses officielles pour les organes des traités des Nations Unies
lorsque ceux-ci ont l’audace de procéder à l’examen du respect des Conventions par l’Etat français, comme
cette année en ce qui concerne la CDPH.
Moins de souffrance pour les usagers, moins de « flagrant délit caractérisé » pour l’Etat français : ceci serait
facile et possible, si un jour vous ou vos éminents collègues étaient frappés par un désir de bien faire ou un

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désir de justice. Ou par une sorte d’inconfort au vu des maux maintenus par le mépris ambiant.
(Ne sachant pas si les hauts fonctionnaires sont dotés de sentiments ou d’une « morale », on évitera d’aborder
ici ces sujets qui pourraient offenser.)
En attendant ce jour béni et glorieux ; en joignant ici ma misérable tentative électro-épistolaire précédente, et
dans l’espoir d’une salutaire intercession de quoi que ce soit, du Saint-Esprit, de l’Esprit de Noël (dans à peine
6 mois) ou même d’une simple « conscience personnelle » si cela est possible, je vous prie de croire, Monsieur le
Chef de Mission, à l’assurance de ma parfaite considération.

Eric LUCAS
Martyr Administratif Français

P.S. Très important :
Si vous estimiez que des éléments ou des caractéristiques propres à mes demandes (longueur, style,
compréhensibilité…) étaient de nature à motiver ou à expliquer vos non-réponses ou d’autres troubles
administratifs, la logique la plus élémentaire imposerait alors que vous m’en informiez afin de s’attacher à
les diminuer (par exemple en cherchant une assistance socio-administrative dûment fournie par l’Etat
français).

« Aux personnes en situation de handicap,
je veux ici dire très solennellement que
la République sera toujours à leurs côtés

et qu’à chaque fois qu’il y a une difficulté, une impasse, une épreuve,
qu’ils n’ajoutent pas une forme de culpabilité à ce qu’ils vivent :

c’est la nôtre, de culpabilité, pas la leur.
Eux, ils ont à croire en leurs rêves.
Votre différence, ça n’est pas celle que nos regards
– trop habitués aux normes – croient voir :
votre différence, c’est votre potentiel. »

Emmanuel MACRON
Conférence Nationale du Handicap
Palais de l’Elysée
11/02/2020

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Eric LUCAS ◼ Avenida N.S. de Copacabana, 542 ◼ 22020-001 Rio de Janeiro, RJ ◼ Brésil el@ericlucas.org
WhatsApp : +55 21 95 95 00000
De : Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Date: ven. 20 mars 2020 à 12:58
Subject: ICAMDAAD—MEAE-FAE-SFE-MASAS Demande d’assistance pour diminuer la torture administrative
To: <jean-claude.marfaing@diplomatie.gouv.fr>

ICAMDAAD (Injustice et cauchemar administratifs du mutisme et du défaut d’accès à l’assistance et aux
droits)

Monsieur Jean-Claude MARFAING
Chef de mission
MEAE/FAE/SFE/MASAS

Monsieur le Chef de mission

Je vous prie d’accepter mes remerciements pour votre lettre N° 2019-0638596 du 9 octobre 2019
confirmant que « le Consulat de France à Rio de Janeiro est compétent pour m’accompagner dans
mes démarches administratives françaises ».

Je vis un cauchemar, parfois aggravé par le « supplice de Tantale » (des rares promesses d’aide,
aussitôt déçues), et il n’est pas possible de rester serein et calme en de telles conditions.

J’ai pourtant fait tous les efforts de « diplomatie » avec les services de ce Consulat.
(Et je ne parle pas des longs mois de demandes polies avant qu’ils n’acceptent de me répondre
enfin en janvier.)

Malheureusement, les relations sont rendues très difficiles voire impossibles en raison de divers
troubles.

J’ai expliqué à ces services que ma demande d’assistance a pour but d’obtenir :

-A/ Au moins un interlocuteur de l’Administration française afin d’avoir enfin le dialogue
nécessaire à la résolution ou à la diminution des injustices constitutives de la « torture
administrative » qui m’est imposée (dont les principales sont : 1/ injustice séquestration, 2/
injustices titre de séjour, 3/ mutisme administratif / absence d’assistance).

-B/ Une assistance socio-administrative (et pour la communication) apte à faciliter et à faire
prospérer le dialogue avec le ou les interlocuteurs en question, et avec l’Administration en général.

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Je rappelle avoir fait une grève de la faim en juin 2017, précisément pour ces deux points A et B.
En vain, bien sûr.

(Je ne sais pas si quelqu’un comprend ce que j’écris. Sans dialogue, sans interlocuteurs, sans
réponses, on ne peut que tenter de deviner. Et naturellement c’est aux autistes que l’on reproche
une réticence à communiquer.)

Nous avons eu une réunion parfaitement positive et agréable en janvier au Consulat, qui m’a paru
surréaliste au milieu de cette « torture ». Ensuite, je me suis forcé à penser que, finalement, c’était
peut-être « vrai », et qu’il y avait peut-être un espoir de dialogue.

Mais malheureusement, dès le premier courriel subséquent, même bienveillant, j’ai compris que
rien n’a changé.
Ce courriel ignore ma demande (voir plus haut, A et B) et au contraire parle uniquement d’une
démarche du Consulat auprès du Ministère de l’intérieur pour savoir où en est la question du titre
de séjour de mon ami (ce qui n’est pas le but principal du dossier en question, qui traite des
injustices et souffrances depuis 2002 et non d’une simple histoire de carte de séjour).
Je ne sais plus en quelle langue expliquer que cela ne sert à rien et est contre-productif
(offensabilisme des ministères et préfectures etc. qui ensuite sévissent discrètement). Et que cela a
déjà été fait (par le même Consulat, par d’autres ministères etc.), évidemment en vain.
J’explique toujours les mêmes choses (qui sont prouvées par la réalité), personne ne fait attention,
et par dessus le marché on me reproche la longueur de mes explications.

J’ai donc répondu au Consulat pour expliquer cela, mais je n’ai pas eu de réponse.

Ensuite, c’est la mécanique habituelle qui continue : mutisme administratif, souffrance, quelques
rappels par email (le moins possible, pour ne pas « agacer »), souffrance, semaines qui passent,
espoir de réponse, pas de réponse, rappel, souffrance, augmentation de l’irritation, jusqu’au
moment où, tôt ou tard, on rentre peu à peu en crise, et c’est seulement alors, quand on crie, que
les personnes non autistes prêtent attention, parce qu’elle sont dérangées et pour nous reprocher
notre « comportement » en nous demandant de cesser, et « naturellement » sans manifester le
moindre signe de velléité de recherche de résolution des problèmes, qui donc continuent jusqu’à la
prochaine crise etc.
Ce mécanisme s’applique de manière générale avec la plupart des personnes autistes, dont les
enfants.
(Ne surtout prêter aucune attention à mes explications sur l’autisme : je suis un spécialiste, je sais
de quoi je parle et je peux le prouver, mais il est plus simple d’imaginer que j’affabule, ou que je
suis « malade » etc. Ou, pire, que j’ai besoin d’écrire pour me soulager : si c’est juste pour ça, cela
dispense de la lecture, et dès lors on s’étonne moins que personne ne comprenne rien. Mais c’est
ma faute, bien sûr.).
Bien qu’il soit exact que mes courriels et lettres permettent de diminuer la souffrance (grâce au
mince espoir que peut-être enfin un jour – comme au loto – elles rencontreront un destinataire qui

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voudra bien faire vraiment attention), ce n’est pas pour autant qu’il faudrait réduire ma situation à
celle d’une personne qui aurait « besoin d’écrire » pour « soulager son angoisse ».
Cet aspect est parfaitement secondaire, et je suis littéralement écoeuré de voir que le courriel reçu
aujourd’hui de votre Consulat ne parle que de cela, en ignorant encore une fois mes demandes, et
en m’invitant à ne plus contacter le numéro WhatsApp d’urgence (chose que je fais parfois pour
éviter d’envoyer des messages trop « offensants » par courriel au Consulat, et parce que cette
méthode permet d’obtenir des réponses à mes courriels).
En résumé on ne me répond que quand je dérange trop, ou que quand j’envoie une LRAR.
L’Administration française veut bien daigner fermer les yeux sur les tortures qu’elle maintient sur
les personnes handicapées, ici sans faire le moindre effort d’adaptation, d’accessibilité ou
d’aménagements raisonnables, pourvu que les suppliciés ne crient pas trop fort, auquel cas on a
droit à une réponse invitant à se taire.

Liberté, Egalité, Fraternité ?…

Je pense qu’avec la crise sanitaire en cours et son aggravation à prévoir (risque accru de chaos
social en France), l’Etat français pourrait peut-être en profiter pour se focaliser un peu moins sur
le maintien des sévices, pour desserrer un peu l’étau de certaines tortures inutiles et insensées sur
personnes handicapées et notamment les autistes : personne ne s’en apercevrait (sauf les victimes
bien sûr) et personne ne vous le reprocherait.
Après tout, même si c’est la France, un peu de liberté et d’humanité, voire de compassion, ce n’est
peut-être pas si impossible ?
Ces supplices étatiques sont déjà particulièrement inutiles et honteux depuis des décennies, mais
là, s’obstiner à ce point à maintenir les injustices coûte que coûte, au milieu d’une débâcle où tout
le monde souffre : cela fait longtemps qu’on avait touché le fond mais est-il vraiment si
indispensable de continuer à creuser ??
L’humanité, voire la pitié, que je vous demande depuis plus de 17 ans, c’est si inaccessible ? C’est
interdit ?
Pardon de déranger depuis si longtemps, mais est-ce que quelqu’un en vos palais pourrait
s’abaisser à répondre à ces questions ?
Les considérations ou décisions basées sur des règlements ne tenant pas compte des droits de
l’homme et ne respectant même pas la CDPH de l’ONU (entre autres) ne sont pas recevables, et le
fait de continuer à les invoquer ne peut qu’aggraver la faute de l’Etat français, que je n’aurai de
cesse de dévoiler, jusqu’à mon dernier souffle.

Par ailleurs, quand on passe toute la journée à se creuser la tête pour essayer de faire fonctionner
des systèmes d’entraide (Autistance.org), sans connaissances et sans moyens, parce que l’Etat
français ne fournit rien, on n’a vraiment pas besoin de vos tortures en plus. Il ne faut pas tirer sur
l’ambulance.

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Je demande un dialogue. Cette torture est criminelle et inacceptable.
Je demande l’aide socio-administrative à laquelle j’ai droit, et au moins un interlocuteur (qui
répond). Elle est où, l’aide pour les autistes ???????
Je demande, comme toujours depuis tant et tant d’années, la cessation des injustices et tortures en
question.
Je demande à l’Etat français qu’il respecte la CDPH de l’ONU, qu’il a ratifiée.
J’invoque le « droit qu’a toute personne de jouir du plus haut niveau possible de santé (physique et)
mentale » prévu par l’ONU.

Pourquoi s’obstiner à ne rien faire pour régler des problèmes qui ne peuvent que finir par nuire à
l’image de la France, que pourtant votre Ministère tente de valoriser ?…
Si mes tentatives, mes démarches, mes méthodes, mon comportement, ne conviennent pas, eh
bien alors il faut trouver autre chose et ce n’est pas à moi de le faire, c’est déjà bien assez dur
comme ça.
C’est aux responsables des troubles de les réparer. Moi je n’ai rien demandé de tout ça.
« La culpabilité, c’est la vôtre. »

Je vous prie de croire, Monsieur Jean-Claude MARFAING, à l’assurance de ma parfaite
considération.

« Aux personnes en situation de handicap,

je veux ici dire très solennellement que la République sera toujours à

leurs côtés

et qu’à chaque fois qu’il y a une difficulté, une impasse, une épreuve,
qu’ils n’ajoutent pas une forme de culpabilité à ce qu’ils vivent :

c’est la nôtre, de culpabilité, pas la leur.
Eux, ils ont à croire dans leurs rêves.

Votre différence, ça n’est pas celle que nos regards – trop habitués aux

normes – croient voir :

votre différence, c’est votre potentiel. »

Emmanuel MACRON
Conférence Nationale du Handicap
Palais de l’Elysée
11/02/2020