Un an après l’incendie de Wintzenheim, l’auteur partage un sentiment profond de colère et de frustration, critiquant sévèrement la manière dont ce drame a été géré en France. Il dénonce une culture de l’hypocrisie et du « faire semblant », où les véritables responsables restent souvent cachés. Le texte met en lumière l’influence excessive du secteur médico-social en France, un problème que l’auteur avait déjà souligné dans un rapport de l’Alliance Autiste à l’ONU en 2021. Ce lobby, selon lui, contrôle de manière disproportionnée les politiques publiques, contribuant à une gestion désastreuse du handicap dans le pays.
L’auteur critique aussi le manque de contrôles rigoureux et la manière dont les entités privées, prétendument à but non lucratif, tirent profit du système, tout en étant protégées par des réseaux de copinage. Il évoque le laxisme, l’incurie et la paresse qui caractérisent ce système, et comment ces facteurs mènent inévitablement à des tragédies comme l’incendie de Wintzenheim.
En comparaison, il évoque ses observations au Brésil, où il a constaté un respect des règles et une rigueur qui contrastent fortement avec la situation en France. Il mentionne des exemples concrets, comme l’organisation spontanée des files d’attente lors d’événements publics, et une attention respectueuse aux autres, qu’il considère absents en France.
L’auteur termine par une réflexion sur la lâcheté et l’arrogance, qu’il voit comme des traits typiques de la culture française, et qui, selon lui, sont à l’origine de bien des problèmes, y compris celui de l’incendie de Wintzenheim. Il lie ces traits à une histoire plus large de la France, et exprime un profond désarroi face à la situation actuelle.