De : Eric LUCAS <***@gmail.com>
Date: mer. 7 avr. 2021 à 16:01
Subject: Demandes d’informations depuis novembre 2019 et depuis novembre 2017 concernant ma recherche d’assistance
To: <***@mdph29.fr>
Cc: <***@mdph29.fr>
MDPH 29 (Maison Départementale des Personnes Handicapées 29)
A l’attention de Madame la Directrice
Demandes d’informations depuis novembre 2019 et depuis novembre 2017 concernant mes recherches d’assistances
Le 07/04/2021
Madame la Directrice
J’ai bien reçu et lu votre réponse du 06/04/2021.
Pour tenter de limiter l’aggravation croissante des confusions, je vais répondre à votre courriel susmentionné dans une partie « A », à laquelle j’adjoindrai une partie « B » reprenant un autre « fil » de courriels, puisque finalement ces deux conversations ont le même but, c’est à dire principalement d’obtenir des INFORMATIONS relatives notamment à ma demande d’assistance accessible spécialisée en autisme.
A/ Discussion résultant de ma saisine du Ministère de l’Intérieur en 2019
A1/ Déclarations périphériques de la MPDH
Dans votre réponse, vous indiquez que « la MDPH n’est pas compétente pour traiter l’ensemble de vos requêtes et nous ne disposons d’aucun pouvoir sur ces administrations.« , cependant, j’ai le regret de vous informer que je n’ai jamais demandé à la MDPH de traiter l’ensemble de mes requêtes (mais seulement celles pour lesquelles elle a été désignée par le Ministère de l’Intérieur via la DDCS de Paris), ni encore moins d’avoir un pouvoir ou une influence sur une administration.
Je ne sais donc pas très bien quoi faire de cette information. Je ne puis que supposer que si j’avais enfin l’assistance que je requiers (et au sujet de laquelle je ne cesse de vous demander des informations), alors celle-ci pourrait peut-être essayer m’expliquer comment tenter de faire un lien entre cette information et les demandes que je vous ai exprimées par écrit de manière détaillée et répétée.
A2/ Confusion entre « déclaration » et « signalement », et demande d’informations à ce sujet
Dans votre réponse, vous indiquez que » la MDPH ne peut pas vous substituer dans vos démarches : il vous appartient d’informer les caisses de toute évolution concernant votre situation. « , cependant, j’ai le regret de vous informer que je n’ai jamais demandé à la MDPH de se substituer à moi concernant mes déclarations à la CAF (ni encore moins ailleurs).
2a/ En revanche, je vous demandais « pour quelles raisons vous n’avez pas notifié cet organisme de mon absence du sol français« , ce qui ne signifiait évidemment pas « déclarer à ma place », mais « signaler ».
Par exemple, le MEAE (qui lui non plus n’a pas à « déclarer à ma place ») n’a pourtant pas eu de difficultés à faire un « signalement » à la CAF en octobre 2020 pour lui faire indiquer que je ne vivais plus en France (ce qu’il connaissait depuis 2016).
C’est pourquoi j’aimerais savoir s’il est « obligatoire » ou non, pour la MDPH 29, de « signaler » (et non de « déclarer à la place ») à la CAF (qui fait partie de son conseil d’administration) une irrégularité qu’elle constate au sujet des droits d’un allocataire.
(Ceci est une demande d’informations destinée à la MPDH 29.)
Je vous prie de m’excuser pour le manque de clarté de ma formulation initiale, en espérant que ces précisions soient suffisantes.
A3/ Perplexité relative à vos indications concernant le consulat
Dans votre réponse, vous indiquez « Au regard de votre situation administrative (français vivant à l’étranger), je vous invite à solliciter le consulat de votre territoire pour toute démarche administrative : https://riodejaneiro.consulfrance.org/ « , cependant, le courriel auquel vous répondez mentionnait :
« Comment obtenir l’assistance socio-administrative prévue pour les « Français de l’Etranger », à laquelle je crois avoir droit (silence radio de la part du Consulat, depuis 2017).« .
et
« pour obtenir des réponses à ces deux questions, étant désespéré au bout de plusieurs années de recherches et de demandes, j’ai dû faire une courte grève de la faim ici à Rio de Janeiro en juin 2017, pour que le Consulat local accorde une certaine attention. «
ce qui signifie :
– que j’ai déjà sollicité ce consulat ;
– que celui-ci ne répond pas du tout (« silence radio ») à cette demande.
Dès lors, je ne sais pas quoi faire avec l’information que vous me fournissez à ce sujet, par laquelle vous m’invitez à solliciter une entité alors que j’ai indiqué l’avoir fait, pour obtenir des renseignements dont j’ai indiqué les avoir demandés en vain, y-compris en faisant une grève de la faim.
Je ne puis que supposer que si j’avais enfin l’assistance que je sollicite (et au sujet de laquelle je ne cesse de vous demander des informations), alors celle-ci pourrait peut-être essayer m’expliquer comment tenter de faire un lien entre votre information et ce que j’ai écrit.
A ce sujet, j’aimerais préciser également que mon handicap n’est pas accompagné par des « déficiences intellectuelles » particulières, et que n’importe quel voyageur (ou résident) sait très bien à quoi sert un consulat.
Les termes de mes demandes devraient faire comprendre que c’est bien parce que je ne parviens pas à obtenir ni l’assistance administrative (« ordinaire ») de la part de ce consulat, ni les informations y afférentes, que j’ai été obligé de m’adresser à d’autres entités dans ce but.
Il serait particulièrement illogique de solliciter presque la totalité de l’Administration française en métropole, sans jamais avoir l’idée de m’adresser au consulat local dont je relève de toute évidence.
(Note : Le fait que vous m’invitiez à solliciter ce consulat, en supposant donc que je n’ai même pas eu la présence d’esprit de faire une chose aussi élémentaire, renvoie malheureusement à l’attitude typique des administrations centrales parisiennes qui – soit dit sans vouloir vous offenser – ont coutume de se croire supérieures et omniscientes et jugent en une minute les écrits des « usagers » après les avoir distraitement survolés avec agacement, en partant du principe qu’il s’agit d’élucubrations alors qu’une analyse attentive permet de les comprendre et, partant, de constater le manque de pertinence des réponses consenties.)
A4/ Perplexité et demande d’information relative à votre déclaration concernant des « prestations MDPH »
Dans votre réponse, vous indiquez que je peux » également solliciter la MDPH pour l’attribution des prestations MDPH ou, si besoins, demander le réexamen de votre dossier MDPH« , cependant, j’ai le regret de vous informer que mes demandes ou requêtes ici abordées n’incluent pas ce type de sollicitations.
J’aimerais savoir s’il existe un motif particulier expliquant pourquoi vous me rappelez cette possibilité.
Est-ce qu’il faudrait imaginer ici une sorte de relation (et si oui laquelle, précisément) avec ma demande d’assistance accessible spécialisée en autisme et des informations y afférentes ?
A5/ Interrogation concernant l’absence d’informations relatives à ma principale demande (concernant l’assistance spécialisée handicap autistique)
J’aimerais savoir s’il existe un motif particulier (et si oui lequel) qui pourrait expliquer pourquoi votre réponse ne souffle pas un mot de la principale requête que j’ai formulée, à savoir une demande d’assistance spécialisée et les informations s’y rapportant, telle qu’exprimée au point 2 de ma requête auprès du Ministère de l’Intérieur :
« 2- Où se trouverait une assistance socio-administrative adaptée aux autistes, et accessible (à distance), quelque part en France (et donc, comment la contacter).«
(ce qui est à distinguer d’une « assistance administrative (ordinaire) telle que précisée par le point 3 :
« 3- Comment obtenir l’assistance socio-administrative prévue pour les « Français de l’Etranger », à laquelle je crois avoir droit« .)
Peut-être que vous n’avez pas lu ma requête auprès du Ministère de l’Intérieur.
Quand je vous écrivais
« Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous un rappel de ma saisine électronique du 8 octobre 2019 du ministère de l’intérieur qui vous avait été transmise par la DDCS de Paris, pour laquelle la MPDH 29 m’avait promis une réponse par un juriste dès que possible, ce qui avait sans doute été oublié comme pour ma demande d’informations de 2017.« ,
en fait cela signifiait implicitement (dans mon esprit) que je vous invitais à prendre connaissance de cette saisine électronique (et je crois qu’il serait utile que quelqu’un chez vous finisse par le faire « pour de vrai »).
Je vous prie de m’excuser si mes propos n’étaient pas assez précis.
Je note également que depuis 2019 votre service juridique évoque son intention de rechercher les informations relatives à mes demandes d’assistance, sans toutefois parvenir à les fournir, apparemment.
A6/ Précisions relatives aux errements administratifs et aux tortures mentales en résultant
En ce qui concerne « l’accompagnement pour mes démarches administratives françaises » (expression utilisée par le MEAE dans sa promesse du 22/10/2019 de me le faire fournir par le consulat (c’est à dire un accompagnement « ordinaire », sans spécialisation propre à un handicap), nous savons tous très bien, et depuis longtemps, que c’est le consulat de France à Rio de Janeiro qui doit me le fournir, et comme déjà dit c’est bien parce qu’il le fait pas que j’ai dû me tourner vers d’autres entités étatiques, dont le Ministère de l’Intérieur qui vous a (semble-t-il) chargés de répondre à mon interrogation.
Donc il est évident que ce n’est pas ce consulat qui va m’indiquer comment faire pour lutter contre son propre mutisme (chose que je lui ai d’ailleurs déjà demandée maintes fois).
C’est pourquoi je ne puis que suivre la logique de l’orientation décidée par le Ministère de l’Intérieur et la DDCS de Paris, en vous demandant une nouvelle fois si oui ou non vous pouvez m’informer au sujet de cette demande, ou sinon m’indiquer ou m’adresser.
A priori la réponse est « non », donc j’ai besoin de savoir pourquoi la DDCS renvoie ma saisine uniquement vers vous (?) pour cette recherche d’assistance administrative « ordinaire ». Comment puis-je faire pour le savoir ?
Je demande de l’aide pour m’en sortir dans ces cauchemars administratifs, et de ce fait vous comprendrez peut-être que je ne peux pas être responsable, ni le jouet, des errements ou dysfonctionnements dans les orientations de mes requêtes.
Plus je demande de l’aide et plus c’est compliqué. Je ne vois pas du tout en quoi on m’aide : mes demandes sont à peine lues, et je dois décortiquer les rares réponses (obtenues au prix de bien des efforts) pour en déceler les erreurs, les confusions et les oublis.
Ceci fait que mes recherches pour obtenir les assistances nécessaires à la diminution des tortures psycho-administratives génèrent elles-mêmes de nouvelles tortures psycho-administratives, et cela sans la moindre assistance (ce que je demande).
Je suis obligé d’essayer de me débrouiller tout seul avec les réponses qu’on m’envoie.
Je précise enfin que le consulat fait semblant de croire (ou croit) que la seule assistance que je demande serait une assistance spécialisée (handicap / autisme), en m’invitant à me rapprocher « d’organismes dédiés ou de structures spécialisées » et en ignorant très scrupuleusement ma demande d’accompagnement « ordinaire » alors que tout le monde (dont vous) indique c’est bien à lui de s’en occuper.
Cette « confusion » fallacieuse est particulièrement typique des organismes administratifs quand ils n’ont pas envie de répondre, et cela est diamétralement opposé à la notion d’assistance puisque cela amène l’usager (même s’il est handicapé) à se perdre ad vitam eternam dans des labyrinthes administratifs « démentiels » à côté desquels la « Maison qui rend fou » des 12 Travaux d’Astérix fait figure de conte suffisamment doux pour endormir de très jeunes enfants.
A7/ Nouveau rappel de ma demande d’assistance spécialisée (handicap), concernant particulièrement la MPDH, et questionnements y afférents
En ce qui concerne maintenant l’assistance socio-administrative SPECIALISEE et accessible à laquelle j’ai droit, j’ai demandé :
– « 2- Où se trouverait une assistance socio-administrative adaptée aux autistes, et accessible (à distance), quelque part en France (et donc, comment la contacter). »
et
– « l’assistance humaine à laquelle j’ai droit en tant que personne autiste handicapée, notamment en vertu des stipulations de la CDPH et aussi de l’article L.246-1 du CASF«
Il semble donc clair que ce n’est pas le consulat qui va fournir une telle assistance, et d’ailleurs c’est bien parce que cela relève du handicap (ce dont le consulat ne relève pas) que le Ministère de l’Intérieur puis la DDCS de Paris ont transmis ma requête à la MDPH 29 : ici les mécanismes administratifs semblent avoir suivi une certaine logique.
En revanche, une fois arrivée à la MDPH 29, cette demande relative à l’assistance spécialisée en matière de handicap n’a pas vraiment prospéré.
J’ai reçu en 2019 une promesse d’être recontacté par votre juriste (sans suite).
Puis, récemment, votre juriste semble avoir tenté de faire des recherches de « partenaires » et/ou d' »interlocuteurs ».
Puis enfin votre réponse du 06/04/2021 ne dit absolument plus rien sur cette assistance spécialisée handicap, alors que c’était le sujet le plus pertinent pour une MPDH dans mes requêtes.
(Ou si votre réponse contient des informations permettant de répondre à ma demande d’assistance spécialisée (et des informations y afférentes), je ne les ai pas détectées, ce que l’assistance demandée aurait peut-être permis de faire, mais là on tourne en rond dans l’absurde et dans la torture mentale.)
J’aimerais donc savoir si vous voulez bien m’indiquer s’il existe un motif particulier expliquant pourquoi ma demande d’assistance socio-administrative spécialisée (autisme) et accessible a finalement disparu de nos échanges.
En outre, j’aimerais savoir pourquoi, si finalement la MDPH n’est pas compétente pour répondre à ma saisine, c’est pourtant à cette même MDPH que cette saisine a été adressée par la DDCS de Paris.
(Note : Disons que le fait d’être « baladé » en vain pendant des années est déjà suffisamment torturant, donc si au moins on pouvait obtenir quelques indices utiles pour diminuer peu à peu les errements, cela pourrait peut-être permettre de faire naître comme une sorte d’espoir dans tout ce cauchemar.)
A8/ Réflexions concernant des particularités remarquables dans la « réorientation en boucle et en vain » d’une personne handicapée par les organismes administratifs français
Le lecteur attentif ne pourra manquer de remarquer que :
– lorsque je demande une assistance ordinaire et une assistance spécialisée au consulat, celui-ci « oublie » la première (alors qu’elle relève de son devoir), pour se « jeter » sur une demande qu’il ne peut seconder et pour laquelle il s’empresse de me rediriger vers des organismes « dédiés » (et ici on pense forcément à la MDPH), tout en ignorant ensuite puissamment mes lettres lui faisant remarquer cette anomalie ;
– lorsque je demande une assistance ordinaire et une assistance spécialisée à la MPDH (et les informations y afférentes), celle-ci « oublie » (?) la seconde (alors qu’elle relève de son devoir (?)), pour se « jeter » (?) sur une demande qu’elle ne peut seconder et pour laquelle elle s’empresse (?) de me rediriger vers le consulat…
Pouvez-vous commenter cette particularité ubuesque, et/ou m’indiquer toute erreur relative à ce constat, s’il vous plaît ?
B/ Rappel de ma demande d’informations, depuis 2017, visant à faire prospérer ma recherche d’assistance spécialisée accessible dans un cadre où la MDPH 29 considère que je « ne [relève] pas d’un service d’accompagnement à la vie sociale » (ce qui n’implique pas qu’un tel service serait la seule option à envisager pour compenser mon handicap en tenant compte dûment de mes besoins et de mes difficultés, de l’article L.246-1 du CASF, et de la CDPH).
Je rappelle ci-dessous nos principaux échanges.
04/11/2017 :
De : Eric LUCAS
Envoyé : samedi 4 novembre 2017 23:21
À : <***@mdph29.fr>
Objet : 20171104 EL—MDPH29 Recherche assistance, aménagements, accessibilité, réponses – RE: Communication par mail
Madame Vanessa Graillot de la MDPH 29
Merci beaucoup pour m’avoir envoyé ces lettres par email.
Merci beaucoup au département du Finistère pour l’AAH pour 5 ans (jusqu’en 2022).
Concernant le refus d’accompagnement social, je lis que je « ne relève pas d’un service d’accompagnement à la vie sociale »…
Je n’ai pas pu réagir à cette décision dans le délai de deux mois, car je n’en prends connaissance que maintenant.
J’étais occupé, en retrait par rapport à ça, et personne ne m’a prévenu.
Cette information assez troublante m’amène à vous poser quelques questions, qui me hantent depuis quelques années, vu que la MDPH 29 semble désormais la moins mal placée pour y répondre, a priori.
1- Comment pourrais-je être autiste sans avoir de difficultés dans les relations sociales, et sans avoir besoin d’accompagnement ou d’aide pour diminuer les problèmes et malentendus créés par les limitations et le mutisme administratifs (sachant que l’Administration fait partie de la société, et qu’elle est précisément la « partie de la société » la plus rigide et inhumaine, donc la plus difficile pour un autiste) ?
En admettant que, pour convenir à l’imagination administrative, on « considère » que je n’ai pas besoin de l’accompagnement d’un SAVS :
2- Comment est-ce que je fais pour obtenir l’assistance socio-administrative spécialisée accessible dont j’ai, de toute évidence, cruellement besoin ?
3- Où sont les aménagements raisonnables et l’accessibilité universelle à fournir par les services publics (qui me martyrisent), à moi ainsi qu’aux autres autistes ?
4- Qui m’aide à communiquer avec les pouvoirs publics pour leur faire comprendre ma situation d’une manière réaliste et humaine, et non pas d’une manière fatalement impropre, erronée et insuffisante puisqu’elle ne prend pas l’autisme en compte correctement ?
5- Qui m’aide à communiquer avec les pouvoirs publics pour leur faire comprendre comment prendre l’autisme en compte correctement ?
Depuis plusieurs années, je cherche en vain.
Le site « service-public.fr » me dit que je dois m’adresser pour cela à la MDPH (ce que j’ai déjà fait récemment, sans obtenir de réponses).
6- Comment faire donc pour trouver qui pourrait m’aider à obtenir des réponses de la MDPH à mes demandes pour savoir comment trouver une assistance socio-administrative ou les aménagements ou l’accessibilité universelle permettant de trouver comment obtenir des réponses des services publics (surtout en me refusant le peu d’aide que j’avais) ?
En regrettant toutes les difficultés et souffrances imposées par un système refusant de le savoir, et en vous priant de bien vouloir comprendre et pardonner le ton de ce message, je vous prie d’agréer, Madame Vanessa Graillot de la MDPH 29, mes respectueuses salutations.
Eric LUCAS
05/11/2017 :
De : Eric LUCAS
Envoyé : dimanche 5 novembre 2017 01:56
À : <***@mdph29.fr>
Objet : PS RE: Communication par mail
Désolé mais je reviens vers vous car j’ai du mal à comprendre la décision de refus.
– Pouvez-vous expliciter la phrase « Vous ne relevez pas d’un service d’accompagnement social. », SVP ?
– Est-ce que j’ai des problèmes d’ordre « social », oui ou non ?
– Si oui, quels sont-ils et comment peut-on les régler ? Et où est le service approprié ?
Merci.
Eric LUCAS
29/03/2021 :
De : Eric LUCAS <***@hotmail.fr>
Envoyé : lundi 29 mars 2021 03:55
À : GRAILLOT Vanessa <***@mdph29.fr>
Objet : RE: 20171104 EL—MDPH29 Recherche assistance, aménagements, accessibilité, réponses – RE: Communication par mail
Bonjour, je reviens vers vous car je suis toujours sans réponse, depuis novembre 2017.
Est-ce que la MDPH peut me répondre ?
Merci.
De : <***@mdph29.fr>
Envoyé : lundi 29 mars 2021 12:03
À : Eric LUCAS <***@hotmail.fr>
Objet : RE: PS RE: Communication par mail
Bonjour Monsieur LUCAS,
En effet, nous avons échangé en 2017 au sujet des décisions prises par la CDAPH en 2017. Aujourd’hui, je ne peux que vous conseiller de reconstituer un dossier et de formuler une nouvelle demande si vous le souhaitez. A cet effet, je vous le joins à ce mail.
Bien cordialement,
Vanessa GRAILLOT
Référente Pôle Insertion Professionnelle
Maison Départementale des Personnes Handicapées du Finistère
29/03/2021
De : Eric LUCAS <***@hotmail.fr>
Envoyé : lundi 29 mars 2021 17:50
À : <***@mdph29.fr>; …….
Objet : Demande d’informations depuis novembre 2017 suite au refus d’assistance par la MDPH – RE: PS RE: Communication par mail
MDPH 29
A l’attention de Madame la Directrice
Demande d’informations depuis novembre 2017 suite au refus d’assistance par la MDPH
Madame la Directrice
Je vous remercie pour la réponse apportée récemment par Madame Graillot ce jour, bien que tardive (attendue depuis 2017) et même si elle n’apporte pas les informations que je demande.
Je rappelle mes demandes d’informations du 04/11/2017 et du 05/11/2017 à la fin de ce courriel.
Vous comprendrez peut-être que puisque je suis autiste, j’ai des difficultés pour faire des choses qui me paraissent incohérentes et/ou absurdes et/ou injustes, comme par exemple l’idée de refaire une nouvelle demande d’un accompagnement à un organisme m’ayant annoncé que je n’en « relève pas », et qui de plus pourrait m’être refusée à tout moment et toujours sans explications.
Il y a tout de même un minimum de décence dans la logique, et ce n’est pas parce que nous sommes handicapés qu’on peut nous « promener » en nous imposant de décisions arbitraires, puis en nous proposant de redemander une chose déjà refusée, comme si de rien n’était.
Pour vous, je ne sais pas, mais pour moi c’est indécent.
Les personnes handicapées ont le droit de connaître les motifs des décisions ayant une incidence sur leur vie.
Malheureusement je ne vois pas en quoi ces deux formulaires apportent ces informations.
Si la MDPH pense qu’il existe un motif pour ne pas me les fournir, pourriez-vous au moins me le faire connaître ?
Ce serait déjà quelque chose.
Les usagers ne sont pas des « machines » tout juste bonnes à demander la jouissance effective de droits et d’éventuelles allocations ou autres mesures compensatoires.
Si les systèmes administratifs sont dépourvus d’états d’âme, ce n’est pas le cas des êtres humains, qui ont le droit de comprendre et surtout le droit de vérifier l’éventuelle justesse de ce qu’on leur impose, et si besoin le droit de se défendre (sans être victimes de manoeuvres ayant pour effet (ou pour but) de les en empêcher, comme ce fut le cas de la part du SAVS qui m’a annoncé la décision de refus après le délai de recours).
Ou bien est-ce que le droit des usagers selon la MDPH ne leur permet guère plus que de se contenter de faire des demandes en remplissant des formulaires, qui seront refusées à n’importe quel moment, et sans explications ?
L’information et la justification auprès des usagers est-elle à ce point négligeable ?
Est-ce qu’il y a des choses que je dois faire (ou ne pas faire) pour obtenir ces informations ?
Par exemple formuler ma demande différemment (mais à l’aide de QUI ?), ou l’envoyer en LRAR, ou… (je ne peux pas deviner, je n’ai pas d’aide, vous me l’avez supprimée et sans même m’expliquer pourquoi).
Je vous copie ci-dessous mes interrogations ou demandes d’informations de 2017.
Je vous prie d’agréer, Madame la Directrice, l’expression de mes salutations distinguées.
Eric LUCAS
Voici donc un récapitulatif de mes demandes d’informations pour cette partie « B » :
B1/ Comment pourrais-je être autiste sans avoir de difficultés dans les relations sociales, et sans avoir besoin d’accompagnement ou d’aide pour diminuer les problèmes et malentendus créés par les limitations et le mutisme administratifs (sachant que l’Administration fait partie de la société, et qu’elle est précisément la « partie de la société » la plus rigide et inhumaine, donc la plus difficile pour un autiste) ?
En admettant que, pour convenir à l’imagination administrative, on « considère » que je n’ai pas besoin de l’accompagnement d’un SAVS :
B2/ Comment est-ce que je fais pour obtenir l’assistance socio-administrative spécialisée accessible dont j’ai, de toute évidence, cruellement besoin ?
B3/ Où sont les aménagements raisonnables et l’accessibilité universelle à fournir par les services publics (qui me martyrisent), à moi ainsi qu’aux autres autistes ?
B4/ Qui m’aide à communiquer avec les pouvoirs publics pour leur faire comprendre ma situation d’une manière réaliste et humaine, et non pas d’une manière fatalement impropre, erronée et insuffisante puisqu’elle ne prend pas l’autisme en compte correctement ?
B5/ Qui m’aide à communiquer avec les pouvoirs publics pour leur faire comprendre comment prendre l’autisme en compte correctement ?
Depuis plusieurs années, je cherche en vain.
Le site « service-public.fr » me dit que je dois m’adresser pour cela à la MDPH (ce que j’ai déjà fait récemment, sans obtenir de réponses).
B6/ Comment faire donc pour trouver qui pourrait m’aider à obtenir des réponses de la MDPH à mes demandes pour savoir comment trouver une assistance socio-administrative ou les aménagements ou l’accessibilité universelle permettant de trouver comment obtenir des réponses des services publics (surtout en me refusant le peu d’aide que j’avais) ?
B7/ Pouvez-vous expliciter la phrase « Vous ne relevez pas d’un service d’accompagnement social. », SVP ?
B8/ Est-ce que (d’après la MDPH 29) j’ai des problèmes d’ordre « social », oui ou non ?
B9/ Si oui, quels sont-ils (d’après la MDPH 29) et comment peut-on les régler ? Et où est le service approprié ?
B10/ Si la MDPH pense qu’il existe un motif pour ne pas me fournir ces informations, pourriez-vous au moins me le faire connaître ?
B11/ Est-ce que le droit des usagers selon la MDPH, ne leur permet guère plus que de se contenter de faire des demandes en remplissant des formulaires, qui seront refusées à n’importe quel moment, et sans explications ?
L’information et la justification auprès des usagers est-elle à ce point négligeable ?
B12/ Est-ce qu’il y a des choses que je dois faire (ou ne pas faire) pour obtenir ces informations ?
Par exemple formuler ma demande différemment (mais à l’aide de QUI ?), ou l’envoyer en LRAR, ou… (je ne peux pas deviner, je n’ai pas d’aide, vous me l’avez supprimée et sans même m’expliquer pourquoi).
En me basant sur la CDPH, sur la logique et sur la simple décence, j’estime avoir droit aux informations relatives aux décisions publiques ayant une incidence sur ma vie (c’est à dire des décisions m’impactant prises par des personnes qui ne connaissent pas suffisamment ma situation, et qui, par dessus le marché, refusent de m’informer au sujet des considérations, raisonnements, mécanismes – et erreurs – ayant présidé à ces décisions).
C’est pourquoi je vous prie de bien vouloir :
– soit me fournir ces informations ;
– soit, en cas d’impossibilité ou de non-compétence pour me fournir ces informations, de bien vouloir m’indiquer précisément les noms et adresses de courriel de chaque entité compétente (ce que vous avez déjà fait concernant l’assistance théorique du consulat (information non demandée), mais sans répondre à ma demande d’informations visant à trouver comment procéder face aux refus consulaires) ;
– soit, en cas de refus de fourniture de certaines informations, de m’en indiquer les motifs en précisant quelles sont TOUTES mes possibilités de recours (et pas uniquement de l’ordre de la « médiation ») en vue de les obtenir, c’est à dire de m’opposer à ce ou ces refus.
En particulier, je vous prie de bien vouloir m’indiquer pourquoi la réponse de la MDPH 29 du 06/04/2021 ignore complètement ce qui la concerne pourtant au premier chef, à savoir :
I- ma demande – maintes fois répétée – d’assistance socio-administrative accessible spécialisée autisme (partie « A », demandes depuis 2019) ;
II- mes demandes d’informations et de justifications concernant la thèse surprenante selon laquelle je ne « je ne relève pas d’un service d’accompagnement à la vie sociale » (partie « B », demandes depuis 2017).
Dans cette attente, et en vous remerciant pour votre attention et votre compréhension éventuelles, je vous prie d’agréer, Madame la Directrice, l’expression de mes salutations distinguées.
Eric LUCAS
Martyr Administratif Français
Le mar. 6 avr. 2021 à 10:32, <***@mdph29.fr> a écrit :
Message de la part de Madame Delphine BOURDAIS, Directrice de la MDPH du Finistère.
Monsieur LUCAS,
Je prends note de vos difficultés concernant vos relations avec l’ensemble des administrations françaises. Toutefois, j’ai le regret de vous indiquer la MDPH n’est pas compétente pour traiter l’ensemble de vos requêtes et nous ne disposons d’aucun pouvoir sur ces administrations. Je me permets également de vous préciser que la MDPH ne peut pas vous substituer dans vos démarches : il vous appartient d’informer les caisses de toute évolution concernant votre situation.
Au regard de votre situation administrative (français vivant à l’étranger), je vous invite à solliciter le consulat de votre territoire pour toute démarche administrative : https://riodejaneiro.consulfrance.org/
Vous pouvez également solliciter la MDPH pour l’attribution des prestations MDPH ou, si besoins, demander le réexamen de votre dossier MDPH. Dans ce cas, vous pouvez adresser un nouveau dossier MDPH : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R19993
Attention, ce dossier doit comporter les pièces de recevabilités (justificatif de pièce d’identité, justificatif de domicile, jugement de protection juridique le cas échéant) ainsi que le certificat médical de moins de 6 mois, qui doit être rédigé par un médecin, en français, ou traduit en français.
Vous pouvez envoyer le dossier MDPH par mail : contact@mdph29.fr
Je vous prie d’agréer, Monsieur LUCAS, l’expression de mes salutations distinguées.
Delphine BOURDAIS
Directrice de la MDPH du Finistère.
Julie-Roxane CORIOU
Coordinatrice administrative auprès de la Direction
_________________________________________
Maison Départementale des Personnes Handicapées
1 C rue Félix Le Dantec
29018 Quimper Cedex
De : Eric LUCAS <***@gmail.com>
Envoyé : lundi 29 mars 2021 20:43
À : BOURDAIS Delphine <***@mdph29.fr>
Objet : Demande d’informations depuis novembre 2019 concernant ma recherche d’assistance – Re: Re : Information
MDPH 29
A l’attention de Madame la Directrice
Demande d’informations depuis novembre 2019 concernant ma recherche d’assistance
Madame la Directrice
Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous un rappel de ma saisine électronique du 8 octobre 2019 du ministère de l’intérieur qui vous avait été transmise par la DDCS de Paris, pour laquelle la MPDH 29 m’avait promis une réponse par un juriste dès que possible, ce qui avait sans doute été oublié comme pour ma demande d’informations de 2017.
Je suis navré pour ces retards dans le suivi, mais hélas il n’y a pas que la MDPH qui ne me répond pas (mais en résumé la quasi totalité de l’Administration française en lien avec l’autisme ou avec moi). Et sans assistance tout cela est très difficile et même impossible.
Visiblement je pourrais y passer ma vie entière ainsi sans assistance, sans jamais parvenir à soutirer les informations auxquelles j’ai droit.
Je remercie votre juriste Monsieur Lefranc d’avoir tout de même bien voulu répondre récemment à mon rappel :
« Monsieur LUCAS,
J’ai lu avec attention votre mail et notamment votre besoin d’accompagnement pour vos démarches administratives.
Je vais me renseigner auprès de nos partenaires pour savoir s’il existe une personne ou un organisme qualifié pour répondre à vos interrogations.
Pouvez-vous m’indiquer, s’il vous plaît, sur quels sujets ou démarches, souhaitez-vous être accompagné ?
Respectueusement,
DUFRANC Thomas«
Cependant, avec la fatigue et toutes les choses à faire sans assistance, je n’avais pas suffisamment remarqué l’adverbe « notamment », qui permettait avec justesse mais trop discrètement de ne pas oublier que ma demande ne concerne pas que « l’accompagnement » mais bien les informations y afférentes (ce qui à mon avis correspondait bien à la mission d’un juriste).
J’ai répondu avec le même message (de 2019) et Monsieur Lefranc a répondu ceci :
« Monsieur,
Afin que je puisse trouver des interlocuteurs, m’autorisez-vous à communiquer à des tiers votre nom, prénom ainsi que votre adresse mail afin qu’ils puissent prendre contact avec vous ?
Respectueusement,
DUFRANC Thomas«
Si ces interlocuteurs sont des associations, je me demande bien en quoi elles pourraient répondre à mes demandes d’informations. Elles ne sont pas là pour ça, sauf erreur.
Si ces interlocuteurs sont des autorités publiques, c’est déjà mieux, cependant on voit mal par quel miracle celles-ci se mettraient subitement à me fournir les informations que je leur demande depuis des années (surtout si c’est pour passer leur temps à transférer, rediriger etc. comme avec des « patates chaudes »).
En fait, les interlocuteurs auxquels s’adresse ma demande d’informations sont : le ministère de l’intérieur, la DDCS de Paris, et la MPDH 29 (puisque l’intérieur puis la DDCS lui ont transmis ma requête, sans même m’en informer d’ailleurs).
Donc je résume :
– le ministère de l’intérieur ne répond pas à mes demandes mais il transmet à la DDCS ;
– la DDCS ne répond pas à mes demandes mais elle transmet à la MDPH 29 ;
– la MDPH 29 ne répond pas pendant plus d’un an, mais elle propose de m’indiquer d’AUTRES interlocuteurs (comme si depuis tant d’années je n’avais pas déjà toute la liste, mais bref, un ajout à la collection est toujours possible).
– donc en suivant cette logique, un nouvel interlocuteur va me proposer de contacter encore un autre qui va en faire de même et ainsi de suite : merci mais je ne connais que trop cette musique : c’est de l’EXCLUSION pure et dure, en effet on m’envoie toujours ailleurs, et finalement cet ailleurs c’est « nulle part » puisqu’il n’y a jamais de fin.
Je vous propose donc que ce soit la MDPH qui, au lieu de m’inviter à me perdre (sans assistance) dans ce « tourbillon », réponde tout simplement à mes demandes d’informations concernant ma recherche d’assistance, ce pour quoi elle semble d’ailleurs avoir été désignée par la DDCS et par le ministère de l’intérieur.
En outre, si le spécialiste juridique serait certainement fondé et compétent pour apporter les informations demandées, en revanche j’ai du mal à voir en quoi celui-ci pourrait, ou devrait, se transformer en une sorte de conseiller d’orientation.
Les orientations toujours ailleurs, ça va merci, n’en jetez plus. Je demande des informations.
Si la MDPH 29 ne peut pas ou ne veut pas me fournir ces informations, il suffit qu’elle me l’indique (en expliquant pourquoi), et ensuite cela me permettra de progresser (et non pas de me « perdre dans le sable » comme si souvent suggéré, indirectement) dans le rassemblement des indices permettant de trouver un jour, peut-être, et de mon vivant, comment accéder au Saint Graal de l’assistance humaine à laquelle j’ai droit en tant que personne autiste handicapée, notamment en vertu des stipulations de la CDPH et aussi de l’article L.246-1 du CASF (y-compris pour les « Français de l’étranger »).
Enfin, après avoir remarqué ce jour que la CAF 29 fait partie du Conseil d’Administration de la MDPH 29, je vous prie de bien vouloir m’indiquer pour quelles raisons vous n’avez pas notifié cet organisme de mon absence du sol français puisqu’il était très clairement indiqué dans ma saisine électronique du ministère de l’intérieur du 08/10/2019 que
« je suis un autiste Asperger (dûment reconnu comme handicapé), exilé au Brésil depuis 3 ans, qui recherche de l’aide socio-administrative en France (à distance), depuis plusieurs années. »
et
« Comment obtenir l’assistance socio-administrative prévue pour les « Français de l’Etranger », à laquelle je crois avoir droit (silence radio de la part du Consulat, depuis 2017). ».
Dans l’espoir de recevoir enfin de votre Maison les informations demandées, je vous prie d’agréer, Madame la Directrice, l’expression de mes salutations distinguées.
Eric LUCAS
Martyr Administratif Français
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Sujet : |
Handicap |
Date : |
Tue, 8 Oct 2019 18:30:06 +0200 (CEST) |
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Répondre à : |
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Saisine par voie électronique
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06_prenom_1: Eric
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16_adresse_electronique: ***@gmail.com
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18_nature_de_la_saisine: Information
18_telephone_portable:
19_informations_de_la_saisine: Recherche de contact(s) et d’aide en vain dans le but de réduire des Supplices Administratifs Français Bonjour, je suis un autiste Asperger (dûment reconnu comme handicapé), exilé au Brésil depuis 3 ans, qui recherche de l’aide socio-administrative en France (à distance), depuis plusieurs années. J’ai besoin de trouver : 1- Comment savoir quels pourraient être mes interlocuteurs, dans les ministères français, qui pourraient diminuer ou même faire cesser mes calvaires administratifs (injustes, insensés et inutiles), et comment faire pour que – une fois identifiés – ils daignent répondre de manière appropriée aux problèmes décrits (sachant que rien n’est possible à un niveau départemental, dont les services sont soit incapables d’aider, soit incapables de reconnaître leurs erreurs) ; 2- Où se trouverait une assistance socio-administrative adaptée aux autistes, et accessible (à distance), quelque part en France (et donc, comment la contacter). 3- Comment obtenir l’assistance socio-administrative prévue pour les « Français de l’Etranger », à laquelle je crois avoir droit (silence radio de la part du Consulat, depuis 2017). Au bout de nombreuses années de recherches, je ne sais toujours pas auprès de qui m’adresser. Les très rares réponses sont soit sans rapport avec mes questions (ce qui est un art propre à l’Administration française), soit pour m’envoyer toujours ailleurs (ce qui finalement génère une exclusion de fait), soit encore pour me dire – dans le meilleur des cas – qu’ils ne savent pas quoi me répondre (ce qui est déjà arrivé avec « service-public.fr« , ce qui au moins est honnête). Je précise que, pour obtenir des réponses à ces deux questions, étant désespéré au bout de plusieurs années de recherches et de demandes, j’ai dû faire une courte grève de la faim ici à Rio de Janeiro en juin 2017, pour que le Consulat local accorde une certaine attention. Mais ceci n’a rien donné, à part – au bout de quelques mois – le nom d’une personne au Secrétariat des Personnes Handicapées, qui n’a jamais daigné me répondre. Donc je suis obligé de chercher un peu au hasard. Si vous ne pouvez pas aider pour trouver des réponses à ces deux questions, peut-être que vous pouvez me suggérer d’autres services, contacts, pistes etc. Statistiquement il me reste environ 36 ans à vivre, et ensuite je n’aurai plus besoin de chercher à obtenir l’aide et la justice auxquelles j’ai droit – théoriquement – dans ce pays (la France). En attendant cette délivrance, je ne parviens toujours pas à me défaire de l’idée tenace comme quoi la France serait un « pays des Droits de l’Homme » qui prendrait soin des personnes vulnérables au lieu de s’acharner contre elles, donc je suis bien obligé de chercher à trouver où est l’aide, qui doit bien exister quelque part. Merci beaucoup.
20_complement_de_dossier: non
21_numero_complement_dossier:
adresse_electronique: ***@gmail.com
numero_saisine: 9048
subject: Handicap
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ven. 4 juin 23:59
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Pour l’instant, toutes les pistes aboutissent à la MDPH 29, qui pourtant reste mutique sur mes demandes d’information : pourquoi ?
Pourquoi créer des problèmes, alors qu’il y en a déjà assez ?
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22:15 (il y a 46 minutes)
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Martyr Administratif Français
Voir le récapitulatif de la plupart des échanges ici : https://ericlucas.org/