Date: mer. 11 janv. 2023 à 15:56
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Cc: <Claire.HEDON@defenseurdesdroits.fr>, GIRARD Mylene <mylene.girard@pm.gouv.fr>, POULET Celine <celine.poulet@pm.gouv.fr>
Copie : Madame la Défenseure
Si je ne fais rien, rien ne se passe, évidemment (et je le sais, j’ai déjà testé avec divers ministères ou autorités en attendant pendant un ou deux ans, en vain évidemment).
Parfois on me reproche aussi de ne pas avoir suffisamment attendu avant un rappel, ou d’avoir trop attendu. Comment je peux deviner les délais « acceptables » franchement ? C’est un jeu ou quoi ?
Il faut se forcer à croire aux « habits neufs de l’Empereur », sinon la punition est sans appel.
B. Dans le cas présent (la demande que je vous ai envoyée, contenant une synthèse que Madame Girard a pris la peine de faire, elle aussi jetée aux oubliettes), les choses sont pourtant simples :
2- Vous n’avez pas répondu à ma demande d’une référence ou d’un numéro.
3- Sans surprise (car hélas je connais assez bien les mécanismes « perdifiants » en vigueur chez vous maintenant), je n’ai reçu aucun signe de vie de ce siège sur ce « dossier ».
4- Et sans surprise, quand j’appelle la plateforme à ce sujet, ils ne trouvent rien.
8- Et si j’insiste, on va en profiter pour me faire tomber automatiquement dans la case « emmerdeur »…
–> Ai-je le droit, sans vous accuser, de trouver que ce n’est « pas honnête » ?…
A part la solution « facile » du suicide, mais il ne faut pas y compter.
(Peut-être que dans 10 ou 20 ans de ces tortures avec le DdD – si ça existe encore – il faudra étudier cette possibilité, mais pour l’instant non.)
Je n’ai pas les mots…
Ca fait depuis 2016 que dure ce cauchemar avec le DdD.
Je ne comprends pas cette « fuite en avant » et ce refus d’aborder ce problème sérieusement.
Je suis demandeur d’asile à l’étranger, officiellement, sur la base de ces tortures : croyez-vous vraiment que je vais me décourager ?
Pot de terre contre pot de fer. Vraiment… (auto-censuré).
Il doit bien y avoir quelqu’un chez vous (la Défenseure, Madame Hédon ??) qui va finir par comprendre que je n’abandonnerai JAMAIS car tout ça est inacceptable de la part d’une entité censée « veiller au respect des droits », et qui fait tourner en bourrique les gens à ce point (de surcroît en REFUSANT toute accessibilité pour les autistes), et qui en plus reproche un « comportement ».
Surtout quand on voit que pour 1000 fois moins de contrariété un directeur chez vous n’hésite pas à être grossier et à « jeter » l’usager comme un étron luisant et puant.
Quand est-ce que quelqu’un va enfin « se réveiller » ?
Sinon, inévitablement les choses vont s’aggraver « mécaniquement », et après on va encore m’incriminer pour ça.
Franchement…
C’est facile d’accuser l’usager qu’on pousse à bout.
Et combien de rappels faut-il pour espérer une réponse (ici, obtenir un numéro de dossier de votre part).
Par exemple, si j’ai « droit » à seulement 5 rappels par an (ce qui est déjà « passible d’accusation de harcèlement », je présume), et si en moyenne 5 rappels peuvent, avec beaucoup de chance, générer cette information, alors je sais qu’il faudra peut-être un an.
Inutile de dire qu’à ce niveau de « torture », je ne sais même plus le sujet initial, et vous non plus.
C’est réellement torturant.
Date: jeu. 12 janv. 2023 à 05:45
Subject: RE: contact défenseur des droits
To: Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Date: ven. 13 janv. 2023 à 00:42
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Date: ven. 13 janv. 2023 à 05:36
Subject: RE: contact défenseur des droits
To: Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Date: sam. 14 janv. 2023 à 07:35
Subject: RE: contact défenseur des droits
To: Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Monsieur
Je suis désolée mais c’est le seul numéro de dossier que je possède. Vous pouvez dire à votre interlocuteur que ce numéro correspond à la saisine que j’ai faite de votre demande dans AGORA. Mais il est possible qu’ensuite ce numéro soit changé quand l’affaire est reprise par le siège.
Par ailleurs je ne sais pas du tout quelle est le ou la juriste chargé de votre dossier.
Bien à vous
Date: sam. 14 janv. 2023 à 15:26
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Je vais faire ce que vous suggérez, et si ça ne suffit toujours pas je suppose qu’il sera plus simple de chercher à obtenir le Laissez-Passer A-38.
(Le cauchemar continue, à vie. Mais bien sûr, me crie-t-on en haut lieu chez vous, c’est moi qui suis « particulièrement pénible »… O tempora, o mores…)
Bonne continuation.
Respectueusement,
Eric LUCAS
16/01/2023
Le cauchemar continue.
13h, j’appelle leur plateforme téléphonique, une dame réponds, je demande Madame Sall, on me met en attente, ça coupe.
Je rappelle, je redemande Madame Sall, le monsieur semble embarrassé, et ilme demande si j’ai un numéro de dossier, j’explique que justement non, il finit par me demander le but de mon appel, je lui dis « comme j’ai essayé de vous le faire comprendre, j’aimerais parler à Madame Sall », puis il me dit que ce serait peut-être mieux d’envoyer un email, je dis d’accord, puis il ne parle plus du tout d’email et me transfère vers la « plateforme anti-discrimination »…
Là je finis par avoir l’adjointe de Madame Sall, je lui explique mais évidemment elle ne sait pas quoi faire car elle ne connaît pas l’histoire.
Je lui résume, j’explique que je dois lui transmettre la réponse de Mme De Forges, que je lui lis.
Je lui dis aussi que ce serait plus simple et plus logique s’ils discutaient directement entre eux, au lieu de me proposer de leur transmettre les questions et réponses des uns et des autres.
(C’est ubuesque mais ce truc DdD est tellement……………. que je ne suis même plus supris par n’importe quel « grand n’importe quoi » qui pourrait advenir avec eux.)
Puis je ne l’entends plus, je parle dans le vide.
Je rappelle, je retombe sur le même monsieur qui est à nouveau embarrassé, je lui demande l’adjointe de Madame Sall, il me demande si je connais son nom, je dis non, il me la passe.
Elle me dit qu’ellle m’entendait parler mais que visiblement je ne l’entendais pas.
Elle dit qu’il faudrait rappeler car seule Madame Sall peut gérer.
Mais Madame Sall finit tous les jours à 16h30, et ça fait trop tôt pour moi.
Apparemment j’ai réussi à lui parler précédemment car c’était plus tôt, mais ça fait vraiment trop tôt pour moi.
J’explique que je ne peux plus appeler aussi tôt, que j’ai un décalage horaire, et aussi que je suis fatigué car ça fait 7 ans que ça dure, et que ce serait plus simple si je pouvais transférer directement l’email de Mme De Forges à Mme Sall…
Donc l’adjointe dit que oui mais elle se garde bien de me fournir l’adresse email de Madame Sall (ce serait trop simple ! et bonjour l’accessibilité) et elle me dit qu’elle va lui demander si elle est d’accord pour donner son adresse email, et que donc je peux rappeler demain pour avoir la réponse (et peut-être donc cette adresse email).
Inutile de dire qu’à un tel niveau de torture administrative je ne sais même plus quel est l’objet de mes demandes initiales.
Je crois que j’ai listé mes divers problèmes avec l’Aboministration.
Certes, quand on connaît la CDPH, ce sont bien des problèmes de discrimination puisque tous ces problèmes viennent de l’absence de Prise En Compte Correcte de l’Autisme.
Mais je ne suis vraiment pas sûr que les juristes du DdD soient capables de comprendre ça.
La dernière fois, ils m’avaient répondu simplement qu’il n’y avait pas de discrimination (par rapport à un problème avec le Consulat qui refusait de m’aider pour mes démarches administratives et qui m’invitait à voir avec des « organismes dédiés ou structures spécialisées » en France, ce qui est clairement un refus d’accès sur la base du handicap).
En plus, chez le DdD (comme dans tout le reste de l’Aboministration), ils appellent la CDPH « CIDPH »…
Bref, je dois rappeler demain le 17/01/2023…
Par ailleurs, j’ai découvert aussi qu’il y a une charte de déontologie chez le DdD, fort intéressante, surtout le chapitre I.7, qui montre que parfois (souvent) ils piétinent allègrement leur propre charte et que donc j’ai entièrement raison quand je le dis poliment.
En plus, cette charte précise qu’ils doivent respecter « le principe du contradictoire », ce qu’ils ne font pas puisqu’ils « statuent » et rejettent de manière péremptoire, en ignorant toute demande de correction, et même en trouvant ça « pénible ».
Note : Cette charte en PDF de 2012 résulte d’un scan de pages imprimées, on ne peut pas en copier le texte (ce serait trop beau), mais je suis tellement « pénible » que j’ai fait un lien pour arriver directement au chapitre I.7, au cas où quelqu’un(e) lirait ceci : https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/reglement-interieur-ddd-annexe-02.pdf#page=8
P.S. Je suis tellement « particulièrement pénible », que je vous mets ce fameux PDF directement ci-dessous. En plus, ce sera utile si les gens du DdD décident de retirer la publication originale, en usant du réflexe bien connu de la « cachotterie », de la politique de l’autruche etc.
L’institution favorise l’accès au droit par l’information et l’orientation des personnes physiques et morales, qu’elles soient majeures ou mineures. Elle met à disposition du public, à travers son site Internet www. defenseurdesdroits.fr, une information sur l’institution et sur les droits entrant dans son champ de compétence.
Les collaborateurs du Défenseur des droits s’attachent à exercer leurs attributions dans un souci permanent de tolérance et d’objectivité.
Les collaborateurs du Défenseur des droits s’engagent à faire preuve de diligence, rigueur et compétence dans l’exercice de leurs fonctions et notamment dans l’instruction des réclamations qu’ils sont amenés à connaître.
Ils effectuent une analyse individualisée et impartiale des réclamations dont le traitement leur est confié dans le respect du principe du contradictoire en veillant à la motivation consciencieuse de leurs réponses.
Les collaborateurs du Défenseur des droits respectent les règles de l’attention et de la courtoisie vis-à-vis de ceux qu’ils écoutent. Ils entretiennent des relations empreintes de délicatesse avec les réclamants et mis en cause, par un comportement respectueux de la dignité des personnes.
Leur attitude doit rester, en toutes circonstances, empreinte de neutralité sans laisser transparaître de sentiment personnel favorable ou hostile. »
(Il y a d’autres passages intéressants et utiles.)
17/01/2023
Après diverses personnes et attentes, finalement on me dit qu’il faut que je rappelle demain, car la dame n’est pas disponible.
Quand je demande jusqu’à quelle heure je peux appeler, on me répond « à partir de 9h30″… Deux fois… Bref la routine. Je suppose que ce sont mes questions qui ne sont pas adaptées aux réponses hein…
J’explique que j’appelle seulement pour demander si elle est d’accord pour me donner son adresse email, pour que je puisse lui transmettre la réponse de Mme De Forges, et je rajoute poliment que je suis fatigué car ça dure depuis novembre et que c’est pas logique que ce soit à moi de transmettre leurs messages.
Elle me dit que je dois faire une saisine en ligne ou par courrier…
(Ici, tout est tellement surréaliste que je n’ai même pas l’idée de lui dire « et pourquoi pas avec les Délégués ? »).
Là je comprends que la déclaration précédente avait pour but de me faire comprendre ça, mais de manière vraiment implicite alors.
Je fais remarquer poliment que ça aurait été beaucoup mieux de me le dire clairement tout de suite.
Elle me redit bien que je n’obtiendrai pas l’adresse email de Mme Sall, et là je commence à me demander si l’histoire de la « réunion » est véridique.
Vu la connaissance de fonctionnement « fuyant » et « autruchiste » de cet organisme, il me semble que ça fait très longtemps avec dossier que tout est fait pour me « balader » et me décourager (comme avec presque tous les autres dossiers, d’ailleurs.)
Enfin, la dame me dit que je dois donc reprendre contact avec la Déléguée, pour lui demander à nouveau je ne sais même plus quoi.
Je dis que c’est un cauchemar car ça fait 3 ou 4 fois qu’avec cette dame (la Déléguée) nous nous sommes promis mutuellement (en quelque sorte) de ne plus nous écrire.
Je dis donc que je vais tout de même le faire.
Elle me dit « bonne journée » (poliment)…
(Quand la journée commence comme ça, comment peut-elle être « bonne » ???)
A suivre – cauchemars administratifs à vie…
Date: mer. 18 janv. 2023 à 12:51
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Je me retiens de penser que tout est fait pour tenter de me « balader » (et je ne vous incrimine pas ici).
Je vous épargnerai d’autres acerbes réflexions que j’ai d’ailleurs déjà mentionnées auprès de vous.
Si je ne fais rien, rien ne sera fait, c’est certain.
Si quelqu’un le peut, ce serait la Défenseure.
Et encore, elle ne va pas comprendre comme ça d’un claquement de doigts.
En attendant que quelqu’un aie le courage de lui transmettre ce « binse », eh bien il faut continuer encore et encore ce cauchemar.
Pour une simple demande, on entre tout de suite dans la quinzième dimension.
Et en plus, à tous les coups, c’est moi que les « grands directeurs » vont accuser d’être « particulièrement pénible » ou de « harceler »… pincez-moi je rêve…
EL
Date: mer. 18 janv. 2023 à 13:52
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>, <Claire.HEDON@defenseurdesdroits.fr>
Car c’est un peu comme une sorte de « jeu », où l’usager doit essayer de se noyer le plus tard possible.
On m’a signifié aujourd’hui que je ne devais pas espérer obtenir l’adresse email de Mme Sall.
(Traduction : dans ce « jeu », je suis moi-même tombé dans le « piège » ou dans ce trou que j’ai creusé moi-même, par pure « logique » et esprit constructif, c’est à dire cette idée de transférer votre courriel.)
Mais le but pour l’instant, ce n’est pas cela, le but c’est de lui donner votre réponse parlant de « AGORA ».
C’est elle qui me l’a demandé, donc je ne vois pas pourquoi aujourd’hui quelqu’un d’autre me dirait qu’il ne faut plus la contacter (si c’est ce qu’on m’a expliqué, et c’est même pas sûr car rien n’est clair).
(???)…..
Cauchemar.
Franchement……………….
EL
Date: mer. 18 janv. 2023 à 14:34
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Cc: <Claire.HEDON@defenseurdesdroits.fr>, GIRARD Mylene <mylene.girard@pm.gouv.fr>, POULET Celine <celine.poulet@pm.gouv.fr>
Mais comme visiblement c’est difficile, j’ai dit qu’il s’agissait seulement de transmettre le message de Mme De Forges.
Donc j’ai expliqué que ça doit tout de même être possible de transmettre un message, et que j’ai été employé et que j’avais le droit de transmettre des messages à mon supérieur.
Alors que je n’ai rien fait d’autre que de suivre « bêtement » ce qu’on m’a dit.
Et après ?
Quant au fond, je ne sais plus ce que c’est.
Car ce dossier, s’il est perdu, ce n’est tout de même pas ma faute, non ?
Une chose est certaine, c’est que dans ce « jeu » sinistre je ne risque pas de tomber dans le « trou » consistant à refaire une saisine ou une lettre pour recommencer à zéro le « dossier » que vous avez bien voulu transmettre. Il ne faut pas exagérer et il y a des limites à l’indécence (je ne dis pas ça pour vous).
« Balader » les gens comme ça, en plus autistes handicapés, c’est vraiment… J’ai pas les mots.
Mais bien sûr, tout est de ma faute, je suis « particulièrement pénible ».
Pourquoi n’irais-je donc pas m’enterrer dans un trou, au lieu de chercher aussi obstinément la justice et le respect de mes droits (ou le banal suivi d’un dossier) ??
Eric LUCAS
19/01/2023
Appel. Message automatique « l’institution est exceptionnellement fermée aujourd’hui ».
20/01/2023
Appel suffisamment tôt, j’ai pu parler à Mme Sall.
Elle a retrouvé le dossier, qui donc n’était pas perdu, et elle m’a même donné un numéro de dossier.
Elle dit qu’une réponse a été apportée en décembre.
Et que je dois voir avec Mme De Forges.
Date: ven. 20 janv. 2023 à 11:13
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Donc on avance.
Elle dit qu’une réponse a été apportée en décembre, mais qu’elle ne peut pas m’en dire plus (par confidentialité) et que je dois voir avec vous.
Elle m’a demandé si j’avais reçu une réponse par email, ou par courrier.
J’ai dit que non. Je ne crois pas vous avoir donné mon adresse de courrier donc il serait étonnant que cette réponse ait été envoyée par la poste, mais sait-on jamais.
De plus, vu qu’ensuite elle a dit qu’elle ne pouvait pas m’en dire plus et que seule vous pouviez avoir cette réponse, j’avoue que parfois j’essaie d’éviter de chercher à comprendre (ce qui est un exercice peu courant pour moi, mais ici nécessaire pour la préservation de ma santé mentale).
Elle dit aussi que ce dossier parle d’une hospitalisation d’office, et en relisant je vois que c’est bien ça.
Elle dit aussi que mon code postal est 99000 et elle m’a parlé de Rio de Janeiro, donc on parle bien du dossier que vous lui avez envoyé.
Cela fait 28 ans, 11 mois et 13 jours (excusez-moi du peu !) que j’essaie vainement d’accéder à la justice dans cette histoire, en commençant par des JUSTIFICATIONS (à ne pas confondre avec des « motifs », ni encore moins avec une proposition de fourniture de « dossier médical » censé exposer ces insuffisants motifs, ce que j’ai déjà expliqué « en parlant chinois » à votre institution qui m’a donc proposé d’obtenir ce fameux document que j’ai depuis très longtemps, un pathétique tissu d’âneries : c’est torturant).
Respectueusement,
Date: ven. 20 janv. 2023 à 15:02
Subject: RE: contact défenseur des droits
To: Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Cher Monsieur
Effectivement votre dossier que j’ai transmis au siège a été clos le 7 décembre.
Mais contrairement à ce qu’il vous a été dit je ne suis pas au courant de la décision prise. A partir du moment où le dossier part au siège il nous échappe complètement et nous n’avons plus la main dessus.
N’avez-vous pas fait depuis une autre demande directement au siège auquel cas cela pourrait expliquer une clôture pour doublon?
Je suis désolée de ne pouvoir vous faire une autre réponse.
Bien à vous
Date: sam. 21 janv. 2023 à 01:53
Subject: Re: contact défenseur des droits
To: DelDDD75 – DE FORGES Patricia <patricia.de-forges@defenseurdesdroits.fr>
Cc: GIRARD Mylene <mylene.girard@pm.gouv.fr>, Claire Hédon <Claire.HEDON@defenseurdesdroits.fr>
Rappel : la plateforme, par la voix de sa responsable en personne, me dit qu’elle ne peut rien me dire et que seule vous pouvez me répondre.
L’expression « on marche sur la tête » relève maintenant du doux euphémisme.
A part les « France Service », dont le seul qui m’a répondu récemment m’a proposé de… m’adresser à un Délégué DdD… (Même pas drôle.)
L’erreur est impossible, donc fatalement la correction est impossible, donc c’est la fuite en avant.
Comme dit plus haut, ce n’est pas la peine d’en faire tant, vu l’avance de l’institution en la matière, et si vous avez le droit d’entrer en contact avec Si-Haut et Si-Infaillible, peut-être que vous pourrez Leur dire et peut-être que ça pourra être vaguement entendu pour être oublié dans la seconde, comme tout ce qui vient de si bas, des « pénibles », des handicapés, des « gens qui ne sont rien » etc. etc.
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17 févr. 2023 01:20
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Tout ça est de la torture pure et dure (comme je l’avais prédit), mais en plus il faudrait que je reste calme, et au moindre mot plus haut que l’autre ça serait immédiatement un prétexte pour tout ce qui plairait aux Saintes Elites Bureaucratives.
Franchement, si c’est pas de la torture, c’est vraiment du fichage de figure… (mais ai-je le droit de le dire, sans être encore puni ?).
Je refuse de lire que ce problème serait de ma faute, ou des insinuations similaires.
Les choses sont claires : il y a eu une décision me concernant, j’ai donc le droit de la connaître (précisément), et c’est tout.
Je n’abandonnerai jamais ce dossier tant que ce ne sera pas clarifié.
Votre pays me torture trop, c’est inacceptable.
Ce n’est PAS moi qui « dysfonctionne », ce n’est pas moi qui ne fournit pas les informations, c’est le DdD.
Dans l’attente, veuillez agréer mes salutations distinguées et très très très fatiguées.
Fatigué, mais il ne faut pas espérer un abandon de ma part. Pas le genre de la maison.
L’usager torturé,
Eric LUCAS
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24 févr. 2023 12:27
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13:24 (il y a 0 minute)
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1- Comment faire pour obtenir une réponse (question « existentielle »…) ?
2- Comment faire pour que mes rappels ne soient pas considérés comme du « harcèlement », ou, si c’est impossible, comment faire alors pour obtenir une réponse (contenant les informations demandées), SANS besoin de ces rappels (fatigants pour moi), mais peut-être avec une autre méthode ?
3- L’un de vos directeurs m’a crié au téléphone d’aller – je cite – « emmerder quelqu’un d’autre » : admettons (bien que je n’approuve pas du tout cette approche belliqueuse), mais alors QUI ? (encore une « éternelle question »)
Merci.
Respectueusement,
Eric LUCAS