Date: mar. 3 janv. 2023 à 17:28
Subject: Nouvelle demande des informations nécessaires pour trouver comment réduire les supplices torturants (1) de l’absence d’accès à la justice qui m’est infligée depuis plus de 25 ans, (2) des reproches consentis (ou vociférés) au lieu des informations, de l’aide et des corrections d’erreurs nécessaires, et (3) du MINAB
To: COSCO Anais <anais.cosco@diplomatie.gouv.fr>, GIRARD Mylene <mylene.girard@pm.gouv.fr>
Cc: <jaraya@ohchr.org>, Evelyne Renaud-Garabedian <e.renaud-garabedian@senat.fr>, <eleonore.caroit@assemblee-nationale.fr>, <Claire.HEDON@defenseurdesdroits.fr>, <marc.salvini@justice.gouv.fr>
Monsieur Jorge Araya, Secrétaire du Comité des Droits des Personnes Handicapées de l’ONU
Madame Evelyne Renaud-Garabédian, Sénatrice des Français établis hors de France
Madame Eléonore Caroit, Députée des Français établis hors de France
Monsieur Marc Salvini, Haut Fonctionnaire Handicap Inclusion du Ministère de la Justice
(Obligé de demander « à personne » dans la rue , quelques jours plus tard : https://www.youtube.com/watch?
L’avantage de demander l’aide française « à la cantonnade » au Brésil, c’est qu’au moins ici il est LOGIQUE que personne ne réponde (pas comme en France où c’est inacceptable) : ça fait au moins un début de semblant de « justice », misérable mais mieux que rien du tout.)
Ne voyant pas à qui d’autre m’adresser pour l’instant, j’espère que ces personnes me pardonneront de les solliciter à nouveau.
Et si « ce n’est pas le bon endroit », eh bien, pour la « millième » fois, je ne puis que poser ENCORE la même question « existentielle » : « QUI ?« .
Qui, quelle est la personne, le service (ou que sais-je) que l’Etat a prévu – ou est censé prévoir – pour répondre à mes demandes d’information, d’assistance, d’accès à la justice, etc. (qui, comme vous le verrez si vous lisez, sont très concrètes et parfaitement légitimes) ???
La France est la septième puissance mondiale, le « berceau des Droits de l’Homme » : ne me dites pas qu’il n’y a PERSONNE dans l’Administration française pour aider les autistes handicapés, pour leur accès à la justice, pour défendre « pour de vrai » les droits humains…
Surtout quand on voit qu’il y a DEUX MILLIONS de salariés dans le « médico-social » pour ségréguer et/ou exploiter indirectement les personnes handicapées, sans parler de toutes les écoeurantes et inutiles gabegies étatiques, de la corruption systémique à milliards, etc.
Pardon de déranger, d’offenser, d’être « particulièrement pénible » (dixit DdD) avec mes sempiternelles demandes d’accès à la justice pour parvenir à mettre fin (tout en restant en vie) au supplice torturant du maintien des injustices que je subis.
Comment « veiller au respect des droits » ou à la « justice », quand on veille en premier lieu à cacher les erreurs de l’Administrature ?
Hélas, ce film n’est qu’un divertissement qui dure moins de deux heures, alors que ma réalité à moi, celle de ces supplices administratifs torturants, elle dure depuis plus de 25 ans (et excusez-moi du peu…).
Pardon pour la grossièreté, sans doute acceptable puisqu’elle émane de Si Haut.
Nous les misérables administrés, gare à nous si nous avons le malheur de prononcer un mot plus haut que l’autre, ou même seulement de faire usage d’ironie : la punition est implacable.
Par contre, pour les Elites Nommées par Décret, hurler des méchancetés sur les usagers autistes handicapés, c’est « normal ». C’est la France.)
Sinon, je ne vous écrirais pas.
Vous voulez des exemples ??
Pas de problème, c’est parti, veuillez attacher vos ceintures, éteindre votre téléphone et refermer la tablette située devant vous. Car ça décoiffe.
(1.1) quinze exemples illustrant ou prouvant les errements et manquements étatiques, et
(1.2) dix exemples de mes besoins, demandes et recherches,
dans le cadre de ma « quête » vitale et légitime visant à réduire ou supprimer le « supplice torturant du maintien des injustices«
(qui – pour les néophytes – est résumé en partie B ici : https://ericlucas.org/
inévitables dans un système se comportant comme s’il était infaillible (et souvent contaminé par le Syndrome du Petit-Chef )
(https://ericlucas.org/
Cherchez, et si vous trouvez, dites-moi ce que c’est, ça m’intéresse. Vraiment.
Dans ces conditions, il est bien logique que la Justice me soit inaccessible.
Non ? Ben dans ce cas, pas de crêpe au sucre.
Ou plutôt, pas d’accessibilité à la Justice pour les autistes.
Ou « Pas de bras : pas de chocolat ! », c’est un peu pareil.)
Et ce n’est pas faute de solliciter à ce sujet (ce qui doit probablement être vécu, encore, comme « pénible »).
Et c’est pas faute d’avoir passé des années à chercher (et donc à « fatiguer »… pardon hein…).
https://ericlucas.org/
De plus, après m’avoir mis en relation UNE fois avec un avocat (qui m’a apporté « une réponse juridique précise à une question juridique précise », et qui ensuite a déclaré à cette association – et même pas à moi – qu’il ne pouvait pas m’aider pour faire mes demandes d’aide juridictionnelle), elle m’a signifié une fin de non-recevoir, en disant qu’elle ne pouvait rien faire de plus pour m’aider.
Et depuis, évidemment (puisque « c’est la France »), elle ne me répond plus, même si les sujets sont nouveaux.
Et donc je ne leur écris plus, pour qu’on ne me sorte pas la fameuse carte « harcèlement » (à dégainer sans modération).
(Quand on pue, on pue. En plus, je ne suis même pas une femme, donc… ouste.
Et dire que cette asso est subventionnée…)
(https://ericlucas.org/
(https://ericlucas.org/
Ca n’a rien à voir avec de l’accessibilité, c’est plutôt de l’ordre du « parcours du combattant ».
Ben, vu l’ambiance et le poids écrasant de l’immobilisme, plutôt que d’y perdre 50 ans j’ai préféré passer « directement par en haut » en faisant demander cela à la France par le Comité CDPH (https://allianceautiste.org/
cependant Monsieur le HFHI du Ministère de la Justice (en copie) pense que ce n’est pas nécessaire (et il dit qu’il y a 600 référents-handicap pour le personnel dans son ministère… alors qu’il n’y a pas un seul référent-autisme pour les justiciables autistes handicapés : cherchez l’erreur).
Il précise bien que ce n’est que son « avis personnel », et je présume que pour connaître une position officielle sur le sujet de la part du Pouvoir Judicaire Français, c’est plus qu’impossible, et qu’on aura expliqué l’énigme des chambres de Barabar avant d’obtenir l’esquisse d’un signe d’un éventuel Haut Quoi Que Ce Soit – naturellement courroucé par tant d’impudence : vouloir oser demander à Justice française sa position sur l’accessiblité pour les autistes, c’est forcément insultant, et donc punissable.
Mais j’imagine que cela a dû être encore perçu comme hautement outrecuidant, de la part d’un si improbable vermisseau…
Et je serais fort étonné si les Hauts Dignitaires des Cours avaient daigné s’abaisser à prendre attache avec les instances pouvant (théoriquement) les aider en matière d’autisme.
Qu’est-ce que vous voulez que je fasse de plus, franchement ???
Je crois que même s’il existait une sorte de médicament ou de substance permettant de rendre « humaines et accessibles » ces Hautes Elites, même pendant seulement 15 mn (un peu comme avec un « sérum de vérité »), et même si, pendant ce laps de temps, on pouvait actionner je ne sais quelle machinerie cybernétique pour implanter dans leur cerveau les principes de la CDPH et un minimum de notions sur l’autisme, eh bien même comme ça, il n’est vraiment pas sûr qu’elles acceptent de faire un effort et de tenir compte du handicap autistique ensuite.
J’ai même proposé d’aider pour comprendre « comment tenir compte », mais bon, un vulgaire usager, de surcroît autiste (donc forcément un peu zinzin) qui irait expliquer quelque chose à de Hauts Sachants Tout-Puissants Qui Disent Et Rendent La Loi Au Nom Du Peuple Français… Ou la la… Pas pensable. Ou avais-je donc la tête…
Croire que la Justice française pourrait être juste, ou qu’elle pourrait vouloir l’être, c’est bien la preuve que je suis dingue, non ?
Bref, tout le monde sait que la Terre est plate, et que c’est évident et vrai parce que ça a toujours été comme ça.
Ici je vais rester « pudique », sans quoi assurément on va me reprocher d’être méchant ou je ne sais quoi.
(La moindre erreur est éliminatoire, le moindre soupçon d’ombre d’une possibilité de propos irrévérent ou critique est passible de l’EXCLUSION A VIE : ça, merci j’ai bien compris.
Eh bien soit, je suis exclu et indésirable, mais je continue et je continuerai à chercher la JUSTICE et à ce qu’on « veille au respect » de mes droits, ne vous en déplaise.)
Disons simplement que depuis avril 2016 cette autorité indépendante rejette toutes mes saisines, et surtout, avec eux on est vraiment dans « Brazil » : l’erreur est im-pos-sible.
Donc, à chaque « classement sans suite », j’essaie d’expliquer poliment qu’il y a malentendus, erreurs et confusions (https://ericlucas.org/
C’est un peu facile… Et vraiment pas « professionnel ». Ni encore moins « juste ».
En tous cas une chose est sûre, c’est qu’on n’a pas le droit d’en discuter, et que croire aux beaux principes de la République est sévèrement puni si on ose en demander l’application : la persévérance et la correction d’erreurs (qui « dans la vraie vie » sont plutôt des qualités), sont perçues très très négativement par les Suprêmes Elites Infaillibles et Omniscientes de la Haute-Bureaucrature Française.
(*Note : ne surtout pas créer d’acronyme avec l’intitulé ci-dessus, sans quoi on m’accuserait encore de crime de lèse-majesté, enfin – pardon – de lèse-fonctionnaire. Fonctionnaire de la haute bureaucratie d’élite omnisciente et infaillible donc, puisque toute demande de correction d’erreur fait l’effet d’une offense et déclenche les Foudres Supérieures de la Haute Kafkaïennerie Courtelinesque Rondecuirassée.)
C’est ainsi que TOUS mes Supplices Administratifs Français viennent de cette « magie » : hospitalisation d’office abusive sur des bases imaginaires (https://ericlucas.org/
Evidemment ça demande beaucoup de courage, pour reconnaître qu’on s’est totalement trompé.
Et le courage semble aussi rare que l’arrogance est courante, dans les Hautes Sphères Bureaucratiques.
La preuve : dès qu’il est question d’aborder les erreurs, ou même de simple dialogue, il n’y a plus personne !
Et si on insiste, là on tombe dans le Crime de Lèse-Fonctionnaire-
Le masque tombe très très vite, et derrière, c’est pas beau à voir (ou à entendre).
J’ai des preuves. Accablantes.
On dira même (et on me l’a dit !) que je « m’amuse » (Ben oui, je m’ennuie tellement… Ah, et je ne vous ai pas dit ? Je fais des poupées en y collant des photos googlées de mes victimes burelières, et j’y plante des aiguilles…)
N’importe quelle idée imaginaire pondue automatiquement par le cerveau (embrumé et pétri de fictions télévisées ou cinématographiques) de n’importe quel Fonctionnaire-Bureaucrate deviendra LA Vérité, pour les Siècles des Siècles. (Il ne peut en être autrement, puisqu’on ne peut jamais aller vers la correction d’erreurs.)
C’est toujours l’usager qui a tort, jamais le Fonctionnaire-Bureaucrate. C’est magique, je vous dis.
C’est LA FRANCE, Mesdames et Messieurs, prosternations et acclamations reconnaissantes par les « usagers », les « emmerdeurs », les « sans dents », « ceux qui ne sont rien », etc., ces bêtes qui courent dans la rue et qu’il faut mater, dur et ingrat labeur.)
Naturellement sans la moindre explication, orientation ni quoi que ce soit d’autre que du rejet.
Quand on fait partie de « ceux qui ne sont rien », c’est déjà bien beau d’avoir reçu une réponse de la part de Si Haut : de quoi est-ce que je me plains…
(Et je n’ai jamais envoyé de « conclusions » mais des demandes. Mais bref, de toute façon j’ai forcément tort, puisque l’Administrature a toujours raison et ne fait que ce qui lui chante – en toute impunité.)
(Faut pas non plus rêver hein, c’est la France quoi… Le handicap ? La CDPH ?? Et puis quoi encore ?!…)
Moi je vis dans la défense des droits humains, dans le droit du handicap, dans la connaissance de l’autisme… Elle, je ne sais pas et je n’ai pas cherché, car quand on ne veut pas tenir compte de la CDPH de l’ONU ça ne m’intéresse pas.
Donc j’ai envoyé mes demandes directement au Tribunal, tout en confirmant à l’avocate que oui bien sûr je comptais sur elle pour me défendre : elle était censée suivre ce qu’elle voulait faire à ce sujet (et elle fait bien ce qu’elle veut d’ailleurs, la preuve avec son « désaisissement-déchargement », cf. 1.1.13 plus bas).
1.1.13. En effet, comme si tout ce florilège (qui visiblement n’émeut pas le moins du monde les « machines humanoïdes » bureaucratiques approchant mes dossiers) n’était pas suffisant, alors que ça fait des années qu’on a atteint le fond et qu’on continue à creuser avec vigueur et pétulance, maintenant c’est Monsieur le Bâtonnier de l’Ordre des Avocats de Brest qui a bien voulu daigner « décharger » l’avocate de mon dossier, et ce pour des motifs plutôt « défrisants » à mon avis.
En résumé, cette Haute Personnalité (qui, bien entendu, a déjà Tout compris – à la naissance, je présume, ou peut-être même avant – et qui n’offre aucune chance de dialogue ni – EVIDEMMENT – le moindre espace à la possibilité d’une erreur) a bien voulu indiquer à mon avocate (à la demande de celle-ci bien sûr) que :
ce qui – en substance – est vrai aussi, mais la phrase qui suit (c’est à dire la conclusion des deux premières) est :
et aussi, juste après :
(Encore un truc vague, car est-ce que c’est elle qui se dessaisit toute seule, ou est-ce que c’est Lui qui la décharge ?)
(Ah mais j’oubliais : c’est confraternel, ils font ce qu’ils veulent entre eux, et l’usager, c’est « l’emmerdeur », qui évidemment ne comprend rien, le pauvre…)
A ce niveau, ce n’est même plus « pathétique » mais plutôt « psychiatrique »…)
Les choses sont pourtant claires et Il le dit lui-même : j’ai écrit directement au Tribunal, sans passer par l’avocate.
Ben, évidemment, c’est précisément pour NE PAS « ennuyer » l’avocate que j’ai procédé de la sorte…
Pour ne pas créer d’interférences ou de « troubles » qui auraient pu, justement, servir de prétexte pour m’éconduire.
Comment diantre peut-On honnêtement m’accuser d’avoir voulu « utiliser » mon avocate, tout en me reprochant de ne pas l’avoir consultée ni informée ??? Mystère et boule de gomme…
Soit ça relève effectivement d’une « affection psychiatrique », soit la mauvaise foi atteint ici des profondeurs abyssales encore rarement explorées. (Ce qui ne manque pas d’intérêt, d’ailleurs, pour l’étude des Troubles Administratifs Français.)
Pour que l’assertion de Monsieur le Bâtonnier puisse avoir un minimum de fondement, il faudrait au moins qu’Il puisse citer une phrase tirée de mes courriels ou lettres, par laquelle je demanderais à l’avocate de faire ceci ou cela (vous savez, ces choses apparemment impensables et outrageantes dans ce landernau péninsulaire, ces « empêchements », qui ne sont rien de plus que la prise en compte de mon handicap et de la CDPH : quelle insolence de ma part…).
Et si cette phrase existait dans mes écrits, eh bien vu le niveau de mauvaise volonté ambiant, on peut être sûr qu’elle aurait été citée, brandie, dans cette sidérante Lettre Bâtonnière Du Barreau De L’Ordre.
https://ericlucas.org/
En résumé, en France, l’Administration ou même la moindre entité privée nantie d’un semblant de pouvoir ou d’autorité a forcément raison, et si l’usager ose dire qu’il y a erreur, alors au mieux on ne lui répond pas, et au pire on le punit.
Et il y a divers moyens « discrets » pour faire cela. Pourquoi croyez-vous que j’ai été poussé à l’exil ??
1.1.15. Juste par « esprit sportif » (car je suis maintenant un champion dans la discipline méconnue du Martyrat Administratif Français – https://ericlucas.org/
Dois-je vraiment préciser que cette Sublime Instance n’a « pas souhaité » me répondre ?…
– Quand j’en fais tout de même, en l’absence d’assistance donc, elles sont soit rejetées, soit incomprises ou amputées, c’est-à-dire réduites à « autre chose » (ce qui d’ailleurs explique en partie les tourments susmentionnés avec l’avocate commise d’office et avec la Grande Bâtonnerie de l’Ordre Confraternel).
(Cela dit, je confesse ne pas avoir – dans ma grande paresse – sollicité les 2000 existant en France.
Et si je commençais à le faire, on m’accuserait de « harcèlement », et à tous les coups on me traiterait de « grand malade » !
Il n’y a aucune chance, c’est un « jeu » cruel où l’usager « différent » perd à tous les coups.)
— Les assistantes sociales « de quartier » en France (quand je parviens de très haute lutte à décrocher un rendez-vous après plein de refus, preuves à l’appui) sont comme pétrifiées si je commence à leur égrener un dixième de mes malheurs administratifs, et dans le meilleur des cas elles ne peuvent que m’avouer qu’elles ne savent vraiment pas quoi me dire ;
— L’assistante sociale du Consulat à Rio de Janeiro, malgré ses mérites et sa patience, semble dire que ce sujet dépasse les compétences du Consulat (si j’ai bien compris, mais peut-être qu’il faudrait vérifier à nouveau ? Ou pas, car on me reprocherait peut-être un « harcèlement », ou d’être pénible etc ? C’est kafkaïen, franchement…).
De toute façon, ces services ça ne va pas du tout car ce n’est pas fourni sur la base de l’égalité avec les autres citoyens : par exemple, il faut s’inscrire, obtenir une « place » (au compte-goutte), alors que les « gens normaux », eux, peuvent accéder « de droit » et facilement à des assistantes sociales locales.
Il y a donc, comme toujours, discrimination, ségrégation, manque d’accessibilité, refus de service, exclusion, sans parler de toutes les petites sournoiseries humaines habituelles (et j’ai des exemples).
Une chose est certaine : il n’y a pas d’accessibilité ici, et les gens comme moi sont savamment écartés.
Ce que je demande, ce n’est pas un service ou une personne « qui veuille bien essayer de », car ça, quand on le trouve, ça ne dure jamais très longtemps et donc c’est inutile car il faut des années de patients efforts pour avancer d’un millimètre.
Ce que je demande, c’est « ce que l’Etat a prévu pour », ce qui est fort différent.
Donc dans ce cas j’ai 15 jours (je crois) pour faire une contestation. Laquelle risque fort de ne pas prospérer, vu le binse.
C’est un gag ? C’est ça, « la France, Etat de droit, bla bla bla » ?
Comment je fais pour me défendre contre les rejets insignes daignés par cette entité, et contre leurs refus systématiques d’aborder et de rectifier leurs erreurs, que je peux facilement démontrer ?
Cette Cour m’a déclaré par écrit qu’elle ne pouvait pas m’aider pour cette démarche (très compliquée).
Et elle n’a pas répondu quand j’ai demandé quel service pourrait m’aider. Bref, la routine.
Est-ce que je dois refaire une demande d’aide juridictionnelle ? Puis recommencer, comme ça, tout le temps ?
Ou est-ce que j’ai le droit de contester cette décision étourdissante, et si oui comment ??
Je n’ai pas de boule de cristal !
Et là, pour le coup, il y aurait un véritable « empêchement ».
A vous aussi ? Ben, imaginez pour moi alors, depuis plus de 25 ans que ça dure !!
Les milliers de lettres et courriels en vain !!!
Et en plus, par-dessus le marché, tout ce qu’on trouve à me dire, c’est m’accuser de « harcèlement » (DdD), ou d’être « particulièrement pénible » (DdD), ou « d’emmerder » (DdD) ??!!!
Si d’aucuns n’ont pas de cerveau ou pas de conscience professionnelle (ni de coeur, mais ça c’est déjà avéré depuis longtemps), eh bien il faut « prendre les dispositions adéquates », et diligemment.
Sinon on est juste dans la Grande Polichinellerie Tartuffière.
Votre système, l’Hydre Administratif Français, aiguillonné par les Petites Chefferies néo-féodales, torture benoîtement les personnes autistes handicapées, à vie !
Et je ne suis pas l’autiste handicapé le plus torturé et méprisé, loin s’en faut.
Raison de plus pour lutter contre toutes ces vilenies, ne croyez-vous pas ?
Mais quand je résume on ne comprend pas (ou – pire – on comprend autre chose, toujours à mon détriment bien sûr), et quand je suis explicite on ne me lit pas vraiment, et donc on « ne sait pas de quoi il s’agit » : qu’est-ce que je peux faire, quand il n’y a PAS d’efforts d’accessibilité « en face » ??
C’est donc si difficile, de lire ? Et si oui, alors écrire tout cela est-il donc surhumain ?
Ou est-ce que ce n’est pas plutôt le refus COUPABLE de voir les erreurs et les lacunes, qui rend la lecture attentive « impossible » ??
Ben oui parce que moi je m’ennuie, je suis « un grand malade », c’est bien connu : je prends un malin plaisir à passer un temps fou à faire des centaines ou milliers de lettres pour « emmerder » l’Administration…
Sans doute pour me venger de quelque chose… Purée les trois neurones qui ont produit une « pensée ». Immédiatement gravée dans le marbre. Cette Administrature est FASCINANTE…
Fffff… Ces « pensées automatiques supérieures et disqualifiantes » sont fatigantes et misérables, moi je demande juste l’accès à la Justice (cf. CDPH article 13, notamment), pas des jugements et reproches permettant d’éviter d’aborder le fond.
Ca va, pas la peine de se fatiguer : depuis plus de 25 ans je connais tous les mécanismes, les réponses typiques, les accusations, tout ça. Je suis Usager-Expert en Supplices Administratifs Français. Vraiment !
Je demande juste ce dont j’ai besoin et à quoi j’ai droit. C’est trop demander ???
(Après ce que je viens de citer – c’est à dire seulement quelques exemples récents – vous faut-il encore des preuves ?)
Plus de VINGT-CINQ ANS que ça dure, et que ça semble « impossible » à réduire par votre chère Administrature.
Tout le monde est si « important », dans votre pays, surtout dans la Noblesse d’Etat, pas vrai ?…
Tout ça est à vomir.
Mais bien sûr, tout est de ma faute : j’ai osé dire que le Roi est nu, j’ose exiger moins de fourberie par l’Etat : il faut donc me punir, m’écraser, et surtout pas m’aider.
et en vous priant de bien vouloir pardonner ou déconsidérer tout ce que vous estimez devoir l’être,
je vous prie d’agréer, Mesdames, l’expression de mes salutations distinguées.
—
Eric LUCAS
Martyr de l’Administration Française
Autiste CIM-11 6A02.0 à haut potentiel altruiste
Rescapé de la psychiatrie publique française et de ses médesinges – Martyr Administratif Français depuis 1994
Torturé en 2002-2006 par le Ministère des Aff(ai)res Etrang(èr)es de la France
Fondateur de AllianceAutiste.org, Autistan.org et Autistance.org en 2014
Demandeur d’asile auprès de la République fédérative du Brésil depuis 2017
Usager-Expert en Troubles et Sévices Administratifs Français
EricLucas.org
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jeu. 5 janv. 09:07 (il y a 1 jour) |
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Bonjour Monsieur Lucas,
Malheureusement le Consulat général de France n’est pas habilité à faire plus que ce qui rentre dans le champ de ses compétences, à savoir ce que vous trouverez sur le site : https://riodejaneiro.consulfrance.org/ Il y a un onglet notamment « ce que le consulat peut faire pour vous ».
Concernant les affaires sociales, comme je l’ai déjà exprimé, nous sommes en attente de la réponse de la MDPH pour voir si nous allons pouvoir mettre en place une aide mensuelle… Affaire à suivre donc.
Nous restons à votre disposition pour cela.
Bien cordialement à vous et en vous présentant mes meilleurs vœux pour 2023.
Anaïs Cosco
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11:38 (il y a 4 heures)
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Si même un Consulat, qui fait partie de « l’Administration française », ne sait pas où m’orienter, alors imaginez pour moi…
J’ai reçu une réponse d’un « PIMMS » qui (comme je m’ attendais) me fait savoir, en résumé, que tout ça le dépasse, et qui m’invite (naïvement et en semblant y croire) à recourir aux services de l’inénarrable « DdD »…
Lequel, comme vous le savez si vous avez lu mes écrits, fait tout ce qu’il peut pour m’exclure (je me suis même fait « jeter » très grossièrement au téléphone).
C’est de la torture.
C’est de la torture. Qu’est-ce qu’un pays où on ne peut même pas obtenir des informations de la part de l’Administration, qui le plus souvent quand elle se manifeste c’est pour rejeter…
Comme vous je suis dans l’attente, et cela fait des années.
Le 14/11/2022 j’ai envoyé un QUATRIEME recours à la MDPH29, qui, « surprise », ne daigne toujours pas me répondre.
Si c’est pas de la torture, c’est quoi ?
–> Que puis-je donc faire pour obtenir enfin aide et au moins réponse de cette maudite MPDH ???
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11:44 (il y a 4 heures) |
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Bonjour Monsieur Lucas,
Pour votre première question, comme vous avez déjà tenté pas mal de choses, pour être sincère, je suis à court d’idée.
Pour la deuxième question, il nous faut un peu de patience ; la MDPH met toujours plusieurs mois à répondre.
Bien à vous,
Anaïs Cosco
De : Eric LUCAS <autistasperger@gmail.com>
Envoyé : vendredi 6 janvier 2023 16:49
À : GIRARD Mylene <mylene.girard@pm.gouv.fr>
Objet : Point (bref) – Nouvelle demande des informations nécessaires pour trouver comment réduire les supplices torturants (1) de l’absence d’accès à la justice qui m’est infligée depuis plus de 25 ans, (2) des reproches consentis (ou vociférés) au lieu des in…
Chère Madame, je suis désolé pour toutes ces demandes, mais je ne sais pas où les adresser.
- Comme on pouvait s’y attendre, le Consulat ne sait pas comment m’aider ou me renseigner.
Il ne reste donc plus que vous, qui ne m’avez pas encore répondu.
Tout ça n’est pas nouveau, et ça fait des années que ça dure, que je ne sais jamais où envoyer mes demandes, et que les destinataires me disent « c’est pas ici » mais sans jamais me dire « où », et se fatiguent.
C’est clairement torturant ! Si parfois certains fonctionnaires « pètent un câble » après seulement 4 ou 5 sollicitations (différentes), alors imaginez pour moi, depuis 25 ans…
Où puis-je donc m’adresser pour obtenir au moins des informations ???
(cf. ma réponse ci-dessous à Mme Cosco, où j’explique qu’un PIMMS m’a répondu, mais pour me parler du « fourre-tout inutile » DdD…).
- Concernant votre tentative pour m’aider avec une synthèse pour le DdD (merci) :
2.1. Peut-être que j’ai fait une erreur en vous répondant que je pense que ça n’ira pas car vous en avez compris que ça ne convient pas « à moi », alors qu’en réalité c’est plutôt que « je pense que ça ne conviendra pas au DdD ».
(A moi, RIEN ne convient dans ces calvaires qui durent depuis plus de 25 ans, mais bref.)
Et donc vous avez estimé que ça ne servait à rien de continuer à essayer de m’aider. Ce n’est pas la première fois qu’il y a ce genre de malentendus, où les personnes pensent que c’est moi qui « ne veux pas » quelque chose (en étant « trop exigeant » ou je ne sais quoi), alors que je passe mon temps à demander, et surtout alors que je connais déjà les réactions négatives prévisibles.
2.2. Donc, ayant compris cela, j’ai tout de même envoyé une demande avec votre synthèse à la Déléguée DdD pour les Français de l’Etranger, Patricia De Forges.
Comme on pouvait s’y attendre, elle s’est rapidement « sortie » de cela, en me disant que c’était transmis « au siège ».
Ce qui pour moi signifie que je peux attendre toute ma vie.
Mais hier j’ai appelé la plateforme DdD, et la dame a essayé de retrouver ça, en vain évidemment.
Comme ses recherches durait très longtemps, et comme de mon côté je connais bien les « techniques d’évitement » de ce truc, c’est à dire que j’étais sûr à 99,99% qu’elle ne trouverait PAS le « dossier » censément « transmis » « au siège », je lui ai dit que je trouvais ça dommage de la voir passer du temps comme ça pour rien, puis après une nouvelle attente elle m’a demandé de la recontacter « demain », car « c’est touffu », m’a-t-elle dit.
Je suppose donc qu’elle va contacter cette Madame De Forges, et aussi que le Grand Directeur Outré va mettre son grain de sel… Soit il continue à être aussi bête et donc dans le refus et « la fuite en avant », soit peut-être qu’un rayon d’intelligence ou de décence pourrait l’atteindre.
P.S. : Même pas. J’étais en attente téléphonique en vous écrivant, et après plus de 35 mn d’attente j’ai eu plusieurs personnes sur antidiscriminations, dont finalement Mme SALL (fort sympathique et « pro ») qui m’a demandé de recontacter Mme De Forges pour connaître un numéro de dossier (qui à mon avis n’existe pas). Je rappelle que cette Mme De Forges, que je lui ai demandé comment on allait pouvoir faire le suivi de ma demande, m’a très prudemment répondu qu’elle n’était plus compétente pour me répondre… Tout ça est tellement prévisible…
Donc en résumé, ce fameux « dossier transmis au siège » a été surtout transmis aux oubliettes…
Est-ce que vous mesurez à quel point ce truc DdD est INACCESSIBLE pour les autistes ???
Même en étant très débrouillard comme moi, ce n’est pas suffisant et il faut se transformer en Sherlock Holmes pour essayer de surmonter leurs combines… C’est quasiment de l’ordre de la guerilla, uniquement pour tenter de trouver comment obtenir leur aide…
Alors pour les autistes « moins habiles », la question de leur accessibilité ne se pose même pas, puisque généralement ils n’arrivent même pas à atteindre de tels « niveau de jeu », et en restent aux niveaux basiques, ceux où on est découragé(e) ! Ce truc DdD est vraiment très très fort pour décourager les gens, et il est difficile de ne pas penser que c’est un peu fait pour ça. Décourager, et en même temps donner l’illusion qu’il est « veillé aux droits », bla bla bla.
Tout ça est écoeurant !
Voilà donc où cela en est.
Naturellement, j’imagine que tout est de ma faute, mon comportement etc, je ne suis pas adapté etc, alors que les services ne font AUCUN effort d’adaptation…
(Vive la France…)
Pour l’instant, je suis désolé mais vous êtes mon seul « interlocuteur »…
Je ne vois VRAIMENT pas ce que je peux faire d’autre, à part aller creuser un trou nuitamment au plus profond de la forêt, pour m’y coucher en attendant de mourir…
Respectueusement,
Eric LUCAS
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13:52 (il y a 2 heures) |
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Bonjour Monsieur Lucas,
Je vous avoue que je ne sais plus désormais comment vous venir en aide après nos différents échanges écrits et oraux et je ne suis pas en mesure de lire la totalité des messages que vous envoyez du fait de ma charge de travail.
Je pense que le Défenseur des droits est démuni comme moi pour analyser vos requêtes. Je pense, et c’est ce que j’ai tenté de vous expliquer, qu’il faut véritablement sérier vos difficultés pour identifier ce que vous voulez en repartant de faits, de dates et faire simple. C’est ce que j’avais tenté de faire avec la synthèse pour le défenseur des droits. Il est vrai que la quantité de messages (et leur tonalité) que vous émettez n’aide pas à reprendre un contact apaisé avec les services qui en sont destinataires, quels qu’ils soient.
Je comprends bien que vous vous sentez victime du système mais vous donnez l’impression de refuser la quasi-totalité des propositions d’aides ou suggestions que nous émettons donc j’atteins vraiment la limite de mes possibilités et j’en suis tout à fait désolée.
Cordialement,
Mylène Girard
Secrétaire générale
Localisation : 18, Place des Cinq Martyrs du Lycée Buffon, 75014 PARIS
Adresse postale : 14, Avenue Duquesne, 75350 PARIS Cedex 07