Robocratistan – MDPH : Nouveau recours – 4ème recours : Torture de ma sempiternelle demande en vain (1) d’aide humaine, (2) de renouvellement d’AAH, (3) d’accessibilité, (4) d’informations (5) de justifications (6) d’assistance pour vos « formulaires de demande », et autres « machins normaux »

 

Le 24/01/2023

 

Madame

 

J’ai bien noté que vous ne répondez jamais à mes lettres.

 

Il y a plus de 2 mois, je vous ai envoyé un 4ème rappel de demande d’aide (ci-joint, voir plus bas), qui incluait notamment un NOUVEAU rappel de ma demande de l’aide que légalement vous devez me faire fournir à propos de mon impossibilité d’utiliser votre « formulaire de demande », dont vous n’avez même pas confirmé le caractère supposément obligatoire.

 

Ce nouveau rappel figure en ROUGE et en caractères ENORMES, pages 2 et 3 : vous ne pouvez pas dire que cette demande vous a échappé, vu les répétitions depuis des mois, et les agrandissements.

 

Je vous prie de m’indiquer si votre nouvelle absence de réponse (concernant cette LRAR du 14/11/2022 donc) doit être interprétée comme un refus de me fournir ce qui y est demandé.

 

En l’absence usuelle de réponse à ce courriel, je ne pourrai que conclure par l’affirmative, et au bout de tant d’années de demandes et de suppliques méprisées par votre Maison, je vois mal comment éviter de tenter de porter plainte contre celle-ci.

 

Mais ne vous inquiétez pas : étant donné que l’accès à la Justice, lui non plus, n’est pas prévu pour les personnes autistes handicapées dans ce pays, cela devrait prendre encore des années pour que je parvienne à me défendre contre vos refus d’aide, qui me pourrissent l’existence.

 

Oh, et j’allais oublier : je vous prie de bien vouloir m’indiquer, en retour, en quoi consistent la politique et les mesures d’accessibilité de votre étrange Maison pour les personnes autistes handicapées.
En effet, l’historique des « échanges » montre que cette accessibilité ne semble pas exister.
Vous voudrez bien confirmer ou infirmer.
Un nouveau refus d’informations à ce sujet sera évidemment constitutif de preuve de carence, ce qui, convenons-en, serait particulièrement fâcheux et dommageable, de la part d’une Maison censée fournir ou faire fournir aux personnes handicapées ce que de droit.

 

Et sauf à lire des indications contraires et probantes de votre part, tout cela viole irréfragablement la CDPH de l’ONU, ce dont il sera tenu compte.

 

Veuillez croire, Madame, à l’assurance de ma parfaite considération.